Quels sont les défis mondiaux qui attendent la Suisse?
Des élections parlementaires auront lieu en Suisse le 22 octobre. Les questions de politique étrangère ne jouent toutefois qu’un rôle secondaire dans la campagne électorale. Pourtant, les relations avec l’UE, la guerre en Ukraine et le débat sur la neutralité mettent la politique étrangère du pays à l’épreuve.
A votre avis, quels sont les défis internationaux que la Suisse devra relever dans les mois et les années à venir?
Lecture recommandée: la secrétaire d’État sortante Livia Leu en entretien sur l’état de la diplomatie suisse: Livia Leu: «La discrétion est notre marque de fabrique»
Selon moi, la neutralité ne signifie pas ne pas pouvoir avoir d'opinion.
Neutralität bedeutet nach meinem Verständnis nicht, keine Meinung haben zu dürfen.
Je suis d'accord avec vous. Pensez-vous qu'en Suisse, beaucoup de gens voient les choses de cette manière ?
Ich bin mit Ihnen einverstanden. Glauben Sie, dass in der Schweiz viele das so sehen?
La question "Quels sont les défis mondiaux auxquels la Suisse est confrontée ?"
est d'une importance essentielle et mérite des éloges et de la reconnaissance. Non seulement cette question est bien pensée et formulée de manière judicieuse, mais elle va bien au-delà de la simple surface.
Elle s'étend à différentes dimensions du domaine social, économique,
morale, éthique et politique.
La profondeur de cette question ne réside pas seulement dans sa formulation, mais aussi dans l'étendue des thèmes qu'elle touche.
Elle va au-delà de l'évidence et tient compte des subtilités et des raffinements cachés dans les défis complexes de notre monde globalisé.
À une époque où le monde évolue rapidement et où de nouveaux défis apparaissent, la question des enjeux mondiaux joue un rôle crucial.
Il ne s'agit pas seulement de la surface des choses, mais aussi des effets profonds que ces défis pourraient avoir sur la Suisse.
Les circonstances politiques dans lesquelles cette question est posée la rendent encore plus importante.
Les décisions politiques peuvent façonner le destin d'un pays, et la Suisse est confrontée à la nécessité de relever ces défis et d'emprunter des voies appropriées.
La question ne touche pas seulement le présent, elle a aussi des répercussions sur le présent de demain.
Elle ne requiert pas seulement une réflexion superficielle, mais un examen approfondi des tendances mondiales, des évolutions politiques et des changements économiques qui pourraient affecter la Suisse.
Les défis auxquels la Suisse est confrontée sont multiples.
Ils vont des changements économiques et des crises sanitaires mondiales aux tensions géopolitiques et aux problèmes environnementaux.
La question invite à comprendre ces défis dans leur globalité et à trouver des solutions durables.
Globalement, la question posée n'est pas une simple invitation à passer en revue la situation actuelle.
Elle est un appel à une réflexion globale sur le présent de la Suisse dans un monde en constante évolution.
C'est une invitation à relever les défis, à penser de manière créative et à trouver des moyens innovants pour construire l'avenir.
Die Frage "Welchen globalen Herausforderungen kommen auf die Schweiz zu?"
ist von essentieller Bedeutung und verdient Lob und Anerkennung. Diese Frage ist nicht nur gut durchdacht und sinnvoll formuliert, sondern reicht auch weit über die einfache Oberfläche hinaus.
Sie erstreckt sich über verschiedene Dimensionen des gesellschaftlichen, wirtschaftlichen,
moralischen, ethischen und politischen Spektrums.
Die Tiefe dieser Frage liegt nicht nur in ihrer Formulierung, sondern auch in der Breite der Themen, die sie berührt.
Sie geht über das Offensichtliche hinaus und berücksichtigt die Feinheiten und Raffinesse, die in den komplexen Herausforderungen unserer globalisierten Welt verborgen sind.
In einer Zeit, in der die Welt sich rasch verändert und neue Herausforderungen entstehen, spielt die Frage nach den globalen Herausforderungen eine entscheidende Rolle.
Es geht nicht nur um die Oberfläche der Dinge, sondern auch um die tiefgreifenden Auswirkungen, die diese Herausforderungen auf die Schweiz haben könnten.
Die politischen Umstände, unter denen diese Frage gestellt wird, machen sie noch bedeutender.
Politische Entscheidungen können das Schicksal eines Landes prägen, und die Schweiz steht vor der Aufgabe, sich diesen Herausforderungen zu stellen und entsprechende Wege einzuschlagen.
Die Frage berührt nicht nur die Gegenwart, sondern hat auch Auswirkungen auf die Gegenwart von morgen.
Sie erfordert nicht nur eine oberflächliche Betrachtung, sondern eine gründliche durchleuchten der globalen Trends, politischen Entwicklungen und wirtschaftlichen Veränderungen, die die Schweiz beeinflussen könnten.
Die Herausforderungen, vor denen die Schweiz steht, sind vielschichtig.
Sie reichen von wirtschaftlichen Veränderungen und globalen Gesundheitskrisen bis hin zu geopolitischen Spannungen und Umweltproblemen.
Die Frage fordert dazu auf, diese Herausforderungen in ihrer Gesamtheit zu verstehen und nachhaltige Lösungen zu finden.
Insgesamt ist die gestellte Frage nicht nur eine einfache Aufforderung zur Durchleuchtung der aktuellen Situation.
Sie ist ein Aufruf zur umfassenden Reflexion über die Gegenwart der Schweiz in einer sich ständig verändernden Welt.
Es ist eine Einladung, sich den Herausforderungen zu stellen, kreativ zu denken und innovative Wege zu finden, um die Zukunft zu gestalten.
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S'il vous plaît : lire le texte à haute voix, merci !
La Suisse est confrontée à des défis considérables, exacerbés par plusieurs décisions politiques. La reconnaissance de la province serbe du Kosovo en tant qu'État indépendant a eu un impact durable non seulement sur la neutralité, mais aussi sur la crédibilité, la confiance et l'image de la Suisse.
Cette décision a non seulement fait perdre à la Suisse son rôle de médiateur politique, mais aussi, à long terme, son influence politique sur la scène internationale.
La reprise des sanctions prononcées par l'UE et les pays occidentaux contre la Russie a encore affaibli la position politique de la Suisse. Au vu de ces développements, l'attachement obstiné à la neutralité, qui n'existe plus, semble dénué de sens et éloigné de la réalité.
La Suisse est sur le point de quitter la scène politique, car elle ne peut plus jouer le rôle de médiateur neutre.
Dans l'ensemble, la situation actuelle exige de repenser la politique étrangère de la Suisse et de l'adapter aux nouvelles réalités géopolitiques.
La Suisse, qui a perdu sa neutralité, accueille le président ukrainien dans un geste de soutien qui n'a toutefois que peu d'influence au vu de ses rôles politiques annexes.
La situation politique en Ukraine laisse présager une défaite militaire imminente et le rôle de la Suisse dans les discussions ne semble pas pertinent au vu du rôle central de la Russie !
L'idée du président ukrainien de discuter d'un plan de paix arrive trop tard, alors que la défaite militaire de l'Ukraine se rapproche à petits pas. Les décideurs russes ne sont plus prêts à faire confiance à l'Occident, ce qui souligne également le rôle politique parallèle de la Suisse dans ce contexte.
Dans l'ensemble, il apparaît que la Suisse politique a peu d'influence dans ces affaires et que les réalités géopolitiques de l'Occident dominent la situation. Néanmoins, avec les sanctions adoptées contre la Russie, la Suisse fait partie de cette nouvelle situation à l'issue incertaine et restera concernée à long terme.
Des événements suivront, auxquels la Suisse, qui n'est plus neutre, devra faire face. La manière dont la Suisse organisera à l'avenir sa position sur la scène internationale et si elle réorientera ses principes politiques - ce qui semble peu probable pour l'instant - sera déterminante.
Bitte: Text laut lesen, Danke!
Die Schweiz steht vor erheblichen Herausforderungen, die durch mehrere politische Entscheidungen verschärft wurden. Die Anerkennung der serbischen Provinz Kosovo als unabhängiger Staat hat nicht nur die Neutralität, sondern auch die Glaubwürdigkeit, das Vertrauen und das Image der Schweiz nachhaltig beeinträchtigt.
Durch diesen Schritt hat die Schweiz nicht nur ihre politische Vermittlungsrolle verloren, sondern auch langfristig an politischem Einfluss auf der internationalen Bühne eingebüßt.
Die Übernahme der von der EU und den westlichen Ländern ausgesprochenen Sanktionen gegen Russland hat die politische Position der Schweiz weiter geschwächt. Das sture Festhalten an der Neutralität die es nicht mehr gibt erscheint angesichts dieser Entwicklungen sinnlos und realitätsfremd.
Die Schweiz steht vor einem Abschied von der politischen Bühne, da sie nicht mehr die Rolle eines neutralen Vermittlers spielen kann.
Insgesamt erfordert die aktuelle Situation ein Umdenken in der schweizerischen Außenpolitik und eine Anpassung an die veränderten geopolitischen Realitäten.
Die Schweiz, die ihre Neutralität verloren hat, empfängt den ukrainischen Präsidenten in einer Geste der Unterstützung, die jedoch angesichts ihrer politischen neben rollen wenig Einfluss hat.
Die politische Lage in der Ukraine deutet auf eine bevorstehende militärische Niederlage hin, und die Rolle der Schweiz in den Diskussionen erscheint angesichts der zentralen Rolle Russlands als nicht relevant zu sein!
Die Idee des ukrainischen Präsidenten, einen Friedensplan zu diskutieren, kommt zu spät, da die militärische Niederlage der Ukraine in kleinen Schritten immer näher rückt. Die russischen Entscheidungsträger sind nicht mehr bereit, dem Westen zu vertrauen, was auch die politische neben Rolle der Schweiz in diesem Kontext unterstreicht.
Insgesamt zeigt sich, dass die politische Schweiz in diesen Angelegenheiten wenig Einfluss hat und die geopolitischen Realitäten des Westens die Situation dominieren. Dennoch ist die Schweiz mit den übernommenen Sanktionen gegen Russland Teil dieser neuen Situation mit ungewissem Ausgang und wird langfristig betroffen bleiben.
Es folgen Ereignisse, denen sich die nicht mehr neutrale Schweiz stellen muss. Entscheidend wird sein, wie die Schweiz in Zukunft ihre Position auf der internationalen Bühne gestaltet und ob sie ihre politischen Prinzipien neu ausrichten wird – was derzeit nicht wahrscheinlich erscheint.
Bonjour Sinisa, on entend surtout cet argument de la part de la Russie, qui est mécontente que la Suisse supporte les sanctions de l'UE. Mais sinon, la neutralité du pays est largement acceptée. En ce qui concerne le rôle d'un pays sur la scène internationale, plusieurs facteurs entrent toujours en jeu - et ne se révèle généralement qu'à long terme.
Hallo Sinisa, dieses Argument hört man vor allem aus Russland, das unglücklich darüber ist, dass die Schweiz die EU-Sanktionen mitträgt. Ansonsten ist aber die Neutralität des Landes weitherum akzeptiert. Was die Rolle eines Landes auf der internationalen Bühne angeht, spielen immer mehrere Faktoren rein - und zeigt sich meist erst in der langen Frist.
Vous semblez être très favorable à Poutine. Pourquoi n'émigrez-vous pas en Russie ? Nous n'avons pas besoin d'agents de Poutine en Suisse.
Sie scheinen sehr Putin-freundlich gesinnt zu sein. Warum wandern Sie nicht nach Russland aus? Wir brauchen keine Putin-Agenten in der Schweiz.
La "fameuse" neutralité a été "donnée" à la Suisse lors du Congrès de Vienne de 1815. La Suisse ne l'a pas "prise". La production d'armes est en contradiction avec "notre" neutralité. Mais qui ne profite pas du concept de la "petite monnaie" ?
Les plus grands exportateurs d'armes (armes de guerre) sont les Etats-Unis 54 %, la Belgique 6 %, la France 5 %, l'Allemagne 4 %, la Grande-Bretagne 3 %, la Suisse 2 %, la Norvège 2 %, l'Italie 2 %, le Canada 2 %.
Die “berühmte” Neutralität wurde der Schweiz am Wiener Kongress von 1815 “gegeben”. Die Schweiz hat sie nicht “genommen”. Im Widerspruch zu “unserer” Neutralität steht die Waffenproduktion. Aber wer genießt nicht das „Füüfer und Weggli” Konzept?
Die größten Waffenexporteure (Kriegswaffen) sind USA 54 %, Belgien 6 %, Frankreich 5 %, Deutschland 4 %, Großbritannien 3 %, Schweiz 2 %, Norwegen 2 %, Italien 2 %, Kanada 2 %.
Merci, mais vos données sont lacunaires : la Russie, par exemple, est le deuxième plus grand exportateur d'armes, il faudrait encore citer la Chine, la Corée du Sud et Israël dans le top 10.
Par ailleurs, il peut paraître étrange qu'un pays neutre exporte également des armes. Mais le concept de neutralité armée présuppose une industrie de l'armement. Celle-ci s'est développée depuis l'industrialisation du pays - et oui, le Congrès de Vienne a été essentiel pour que la Suisse devienne ce qu'elle est aujourd'hui !
Danke, allerdings sind Ihre Angaben lückenhaft: Russland beispielsweise ist der zweitgrösste Waffenexporteur, es wären noch China, Südkorea und Israel unter den Top 10 zu nennen.
Im Übrigen mag es befremden, dass ein neutrales Land auch Waffen exportiert. Aber das Konzept der bewaffneten Neutralität setzt eine Waffenindustrie voraus. Das hat sich über seit der Industrialisierung des Landes entwickelt - und ja, der Wiener Kongress war essentiell dafür, dass die Schweiz so wurde, wie sie heute ist!
Incapacité à répondre pleinement à la nécessité de passer à un régime de planification fondé sur les meilleures pratiques mondiales, quelle que soit la difficulté à mettre en œuvre ces normes.
Inability to fully address the need to move to world best practise planning regime, regardless of the difficulty to implement said standards
Forte augmentation de la population au fil des ans.
Huge increase of population throughout the years.
Avec ce qui se passe en Palestine entre les trois religions monothéistes et la parodie de droits de l'homme et de démocratie, qui en réalité vole les ressources des pays, ce qui les provoque, c'est de s'enfuir pour vivre sur une autre planète qui n'a pas de dieux, pas d'élus, pas de pétrole, parce qu'ils y installent rapidement des bases militaires et des terroristes.
Con lo que está ocurriendo en Palestina entre las tres religiones monoteístas y la parodia de los derechos humanos y la democracia, que en realidad es robarse los recursos de los países, lo que lo provoca es salir corriendo a vivir en otra planeta que no tenga dioses, ni auto elegidos, ni petróleo, porque rápido le ponen bases militares y terroristas
Je ne comprends pas le système politique suisse. Mes arrière-grands-parents étaient suisses, réfugiés de guerre au Chili, et je ne comprends pas pourquoi mes grands-parents ont dû chercher asile sur un autre continent.
No comprendo el sistema político de Suiza. Mis bis-abuelos eran suizos, refugiados de guerra en Chile.No comprendo por qué mis abuelos tuvieron que pedir asilo en otro continente
C'est une question passionnante. Savez-vous d'où venaient exactement vos arrière-grands-parents ? Et à quelle époque ?
Eine spannende Frage. Wissen Sie, woher Ihre Urgrosseltern genau kamen? Und zu welcher Zeit?
La poursuite de la politique des impôts bas nous fait ressembler à une sangsue encombrante en Europe : nous faisons venir leurs entreprises et ensuite aussi leurs spécialistes. Pour cela, l'UE ne peut pas nous dérouler le tapis rouge...
Die Fortsetzung der Politik der tiefen Steuern lässt uns in Europa aussehen wie ein lästiger Blutsauger: Wir holen ihre Firmen und danach auch noch ihre Fachleute. Dafür kann uns die EU keinen roten Teppich ausrollen...
La capacité de la Suisse à faire face aux défis mondiaux dépendra de son intégrité et de sa force à ne pas suivre les diktats des mondialistes, c'est-à-dire des élites. Le monde est en train de changer. L'Occident ne détiendra plus le pouvoir, les décisions, les finances, les personnes les plus productives du monde. C'est l'Eurasie et les pays de l'Est qui s'en chargent. Si la Suisse veut jouer un rôle important et être reconnue comme un pays neutre, elle doit être prête à défendre la justice et à s'opposer aux diverses idéologies proposées par des fonctionnaires non élus comme l'OMS et le WEF.
Les dirigeants suisses devront avoir le courage (comme le premier ministre hongrois) de faire ce qui est juste pour la Suisse et non pour les mondialistes qui ont l'intention de s'emparer de chaque pays et d'en faire le vassal d'une seule entité. La Suisse doit "regarder la vérité en face" et accepter que le monde global est en train de changer et aller dans le sens de "ce qui est juste et bon" et travailler avec "quiconque dans le monde" essaie de faire la même chose. N'écoutez pas ceux qui essaient bêtement de ruiner ce monde. Ce monde n'est pas et ne sera pas un monde unipolaire. Si la Suisse peut voir les changements qui se manifestent devant nous et si elle est prête à s'adapter intelligemment à ces changements.....alors la Suisse vaincra chaque défi mondial au fur et à mesure qu'il se présentera. Si la Suisse refuse de le faire... le pays deviendra simplement un ballon dirigeable sur la carte du monde.
Switzerland's ability to deal with global challenges will depend on their integrity and strength in not following the dictates of the globalists i.e the elites. The world is shifting. The west will no longer hold the power, decision making, the finances, the most productive people in the world. That's going to Eurasia and eastern countries. If Switzerland wants to play an important role and be recognized as a neutral country, the country must be willing to stand for justice and against various ideologies put forth by non-elected officials like the WHO and WEF.
Swiss leaders will need the courage (like the prime minister of Hungary) to do what's right for Switzerland and not for globalists who are intent on taking each country and making them a vassal of one-entity. Switzerland must "look truth in the face" and accept that the global world is shifting and go with "what is right and good" and work with "whomever in the world" is trying to do the same. Not listen to those who are foolishly trying to ruin this world. This is not nor shall it be a unipolar world. If Switzerland can see the changes manifesting before us and willing to intelligently adapt to those changes.....then Switzerland will conquer each global challenge as it comes along. If Switzerland refuses to do this...the country will simply become a blimp on the world map.
Le discours sur le prétendu "monde unipolaire" n'est rien d'autre qu'une critique déguisée de l'Occident, utilisée stratégiquement par la Russie depuis l'invasion de l'Ukraine pour forger des alliances (et volontiers reprise, par intérêt personnel, par des "démocrates illibéraux" autoproclamés).
Sur le fond, cela a toujours été faux : économiquement, politiquement et même militairement, les Etats-Unis n'ont jamais été assez forts pour définir de leur propre chef le cours de l'histoire. Mais il faut dépeindre l'image de l'ennemi comme étant la plus puissante possible, afin de pouvoir former la plus grande mobilisation possible contre elle.
La réflexion sur les pôles et les grandes puissances est d'ailleurs (aussi) le résultat de l'école du réalisme en sciences politiques, qui était très en vue pendant la guerre froide et qui est aujourd'hui considérée de manière beaucoup plus critique.
Der Diskurs über die angeblich "unipolare Welt" ist nichts anderes als eine getarnte Westkritik, der von Russland seit dem Überfall auf die Ukraine strategisch eingesetzt wird, um Bündnisse zu schmieden (und die aus Eigennutz gerne von selbsternannten "illiberalen Demokraten" aufgegriffen wird).
Inhaltlich war das schon immer falsch: Wirtschaftlich, politisch und auch militärisch waren die USA nie so stark, dass sie eigenhändig den Lauf der Geschichte definieren konnten. Aber man muss das Feindbild möglichst übermächtig zeichnen, damit eine möglichst grosse Mobilisierung dagegen geformt werden kann.
Das Denken in Polen und Grossmächten ist übrigens (auch) Resultat der Schule des Realismus in den Politikwissenschaften, die während dem Kalten Krieg prominent war und heute weitaus kritischer betrachtet wird.
La Suisse passe vraiment pour un "cherry picker". Il faudrait vraiment s'engager sérieusement dans les négociations afin de mettre enfin la main sur l'accord-cadre avec l'UE. En effet, les accords bilatéraux expirent les uns après les autres et, selon l'UE, ne seront pas renouvelés. Les choses deviendront alors de plus en plus difficiles à tous les niveaux entre l'UE et la Suisse.
Die Schweiz kommt wirklich als Rosinenpickerin rüber. Man sollte sich wirklich ernsthaft in die Verhandlungen begeben um zumindest das Rahmenabkommen mit der EU endlich in trockene Tücher zu bekommen. Die bilateralen Verträge laufen nämlich nach und nach aus und werden nach Aussage der EU nicht mehr verlängert. Dann wird es auf allen Ebenen immer schwieriger werden zwischen der EU und der Schweiz.
Un accord de libre-échange tout à fait normal suffit !
Ein ganz normales Freihandelsabkommen genügt!
Au cours des deux prochaines années, l'indépendance alimentaire deviendra notre principale préoccupation.
In the next two years, food independence will become our biggest concern.
Selon la Journée mondiale de la surcharge (https://www.overshootday.org/newsroom/country-overshoot-days/), la Suisse aura épuisé les ressources auxquelles elle a droit chaque année à l'échelle mondiale le 13 mai 2023. A partir de ce jour, nous surexploiterons nos ressources naturelles.
Il est urgent d'entamer un dialogue sur la manière dont nous pourrions, en tant que Suisses, résoudre ce problème.
Gemäss Welt Überlastungstag (https://www.overshootday.org/newsroom/country-overshoot-days/) hat die Schweiz die ihr jährlich global zustehenden Ressourcen am 13. Mai 2023 aufgebraucht. Ab diesem Tag betreiben wir Raubbau an unseren Lewbensgrundlagen.
Wir sollten dringenst einen Dialog darüber führen, wie wir als Schweizer dieses Problem lösen könnten.
Au niveau international, je dirais que la Suisse n'est pas confrontée à des défis très différents de ceux de ses proches voisins européens. L'accès aux ressources énergétiques, l'augmentation des flux de réfugiés, le changement climatique, la guerre en Ukraine sont quelques-uns des principaux problèmes auxquels la Suisse doit faire face. En ce qui concerne l'énergie, je pense que le pays s'en sort bien avec son approvisionnement en énergie hydroélectrique. La compléter par d'autres formes d'énergie renouvelable contribuerait à préserver sa suffisance. Pour ce qui est de la crise des réfugiés, je pense qu'elle devrait être gérée en coopération avec le reste des pays européens. L'approche individuelle a montré jusqu'à présent qu'elle ne fonctionnait pas. Il faut s'attaquer à la cause principale, à savoir l'amélioration des conditions de vie de ces personnes dans leur pays d'origine. Pendant des siècles, l'Occident a exploité d'une manière ou d'une autre les pays du Sud afin d'accroître sa propre richesse ; nous avons donc le devoir historique d'aider à restaurer leurs écosystèmes locaux. Un message difficile à faire passer auprès des électeurs, mais inévitable à mon avis. Sinon, les gens ne cesseront jamais d'essayer d'échapper à la faim et à la violence. La crise climatique est étroitement liée à la crise des réfugiés et y contribue. Il s'agit sans aucun doute d'une préoccupation mondiale qui exige rien de moins qu'une coopération à l'échelle planétaire. En ce qui concerne la guerre en Ukraine et la particularité suisse de neutralité, je suggérerais que tout ce que le pays a à faire est de rassurer l'alliance occidentale qu'il soutient fermement les sanctions imposées. Les banques suisses devraient alors trouver un moyen de gérer les dommages liés à la perte de la réputation d'un paradis sûr pour tout type de fortune ambiguë, mais cela contribuerait sans aucun doute à la durabilité à long terme du secteur.
On the international level Switzerland I would say is not facing much different challenges than it's close European neighbors. Access to energy resources, increased refugee flows, climate change, war in Ukraine are some of the main issues that Switzerland has to deal with. Regarding energy I think the country is doing well with it's hydroelectric power supply. Supplementing it with other forms of renewable energy would help to further safeguard it's sufficiency. Dealing with the refugee crisis I think should be handled in cooperation with the rest of European countries. Individual approach has shown so far that it's not working. The main cause should be tackled and that is to help improve the conditions for these people in the countries of origin. For centuries the west in one or another way has been exploiting the global south in order to increase it's own affluence so we have a historical duty to help restore their local ecosystems. Difficult message to sell to the voters, but unavoidable in my opinion. Otherwise people will never stop trying to escape hunger and violence. Climate crisis is strongly intertwined with the refugee crisis and it contributes to it. This is a undoubtedly a global concern and demands nothing less than cooperation in planetary scale. Regarding the war in Ukraine and the Swiss peculiarity of neutrality I would suggest that all the country has to do is reassure the west alliance that it stands firm in it's support for the imposed sanctions. Swiss banks should then figure out how to deal with the damage of losing the reputation of a safe heaven for any kind of ambiguous fortune, but that would definitely add to the long term sustainability of the sector.
Merci pour votre contribution ! Si je vous comprends bien, la Suisse devrait, selon vous, se concerter davantage avec d'autres pays. En Suisse, certains craignent que la neutralité du pays ne soit menacée. C'est aussi votre avis ?
Danke für Ihren Beitrag! Wenn ich Sie richtig verstehe, dann sollte die Schweiz Ihrer Meinung nach sich stärker mit anderen Ländern absprechen. In der Schweiz befürchten manche, dass deswegen die Neutralität des Landes gefährdet wäre. Sehen Sie das auch so?
Merci d'être revenu, M. Giannis ! Je suppose que vous faites référence à la guerre en Ukraine et à l'instabilité géopolitique en général. Pour que je comprenne bien. L'objectif est-il la neutralité elle-même ou la stabilité et la sécurité du pays ? En ce qui concerne la coopération avec d'autres pays au niveau militaire, je n'ose pas exprimer d'opinion. C'est une question dont les répercussions sont imprévisibles. En ce qui concerne les sanctions économiques, en revanche, je dirais que la coopération et le choix d'un camp seraient plus judicieux. Les temps ont changé et les gens sont plus critiques quant à la signification de la position d'une personne. Les Occidentaux pourraient penser que la Suisse, par sa neutralité, profite des mesures prises par d'autres pays. On court alors le risque d'être traité avec suspicion et de tomber dans l'isolement. Il est difficile de survivre dans un monde à l'économie mondialisée tout en étant isolé et sans autosuffisance.
Thank you for coming back mr Giannis! I guess you are referring to the war in Ukraine and the geopolitical instability in general. In order for me to also understand it correctly. Is the neutrality itself the goal or the stability and safety of the country? Cooperating with other countries in the military level I don't dare to express an opinion. It's an issue with unpredictable repercassions. In relation to the economical sanctions on the other hand I would say that cooperation and choosing a side would be more wise. Times have changed and people look more critical on what someones stance means. People in the west fraction could possibly think that Switzerland with it's neutrality is benefiting from the measures other countries take. Then you run the risk of being dealt with suspicion and falling into isolation. Surving in a world with globalized economy while being in isolation and not having self-sufficiency is difficult to manage.
En ce qui concerne les sanctions, on constate une certaine divergence : la Suisse est régulièrement critiquée pour ne pas en faire assez - mais elle a jusqu'à présent repris pratiquement tous les paquets de sanctions de l'UE. Je pense que cela n'est pas toujours bien perçu à l'étranger. En politique intérieure, c'est davantage la place bancaire et économique qui est critiquée, la Suisse étant tout de même une importante plaque tournante économique.
Concernant votre question très astucieuse : "L'objectif est-il la neutralité elle-même ou la stabilité et la sécurité du pays ?" Pour beaucoup, la neutralité est effectivement un objectif en soi, elle est en effet considérée comme faisant partie de l'identité suisse. Et beaucoup en déduisent directement la stabilité et la sécurité du pays. Je ne suis pas tout à fait d'accord : De par notre géographie, nous sommes intégrés dans un environnement très sûr et prospère. Si le pays était ailleurs, nous serions confrontés à de tout autres défis.
Pour conclure sur la coopération militaire, la Suisse est liée à l'OTAN par le programme "Partnership for Piece", que le gouvernement veut encore intensifier dans le cadre de la guerre en Ukraine. La question est de savoir si l'OTAN le veut aussi - une Suisse neutre, dont la loyauté serait pour le moins douteuse en cas d'urgence, pose de sérieuses questions à toute alliance militaire...
Was die Sanktionen angeht sieht man eine gewisse Diskrepanz: Die Schweiz wird regelmässig kritisiert, nicht genug zu machen - allerdings hat sie bisher praktisch alle EU-Sanktionspakete übernommen. Ich denke das wird im Ausland teilweise nicht richtig registriert. Innenpolitisch wird mehr der Banken- und Wirtschaftsstandort kritisiert, immerhin ist die Schweiz eine bedeutende ökonomische Drehscheibe.
Zu Ihrer sehr schlauen Frage: "Ist die Neutralität selbst das Ziel oder die Stabilität und Sicherheit des Landes?" Die Neutralität ist für viele tatsächlich ein eigentliches Ziel, sie wird ja als Teil der schweizerischen Identität gesehen. Und davon leiten viele direkt die Stabilität und Sicherheit des Landes ab. Da bin ich nicht so einverstanden: Durch unsere Geografie sind wir in einem sehr sicheren und prosperierenden Umfeld eingebunden. Wäre das Land anderswo, wären wir mit ganz anderen Herausforderungen konfrontiert.
Abschliessend zur militärischen Zusammenarbeit: Die Schweiz ist durch das Programm "Partnership for Piece" an der NATO angebunden, die Regierung will das im Zuge des Krieges in der Ukraine noch intensivieren. Die Frage ist, ob die NATO das auch will - eine neutrale Schweiz, deren Loyalität im Ernstfall zumindest fraglich wäre, stellt jedes militärische Bündnis vor ernsten Fragen...
La dépendance aux matières premières dont la première est l'alimentation. La réduction draconienne de la consommation d'eau à usage agricole ou industriel, la limitation effective de la population, la Suisse n'est pas extensible, et tout apport de population étrangère, sous quel que motif que ce soit, c'est autant d'ubanisation, d'artificialisation des sols, de consommation d'eau et d'électricité. Le problème n'est pas ouvrir ou ne pas ouvrir les frontières mais assécher la source même des migrations.
Il est intéressant de constater que la migration est toujours considérée comme un problème et pratiquement jamais comme une opportunité. Pourtant, il est clair que la migration fait partie de la condition humaine et que l'histoire humaine est le résultat de mouvements migratoires. D'ailleurs, certains scientifiques affirment que la population suisse peut encore augmenter.
Interessant ist, dass Migration immer als ein Problem und praktisch nie als Chance betrachtet wird. Dabei ist klar: Migration gehört zum Menschsein dazu, die menschliche Geschichte ist das Resultat von Migrationsbewegungen. Es gibt übrigens manche Wissenschaftler:innen, die sagen, die Schweizer Bevölkerung könne durchaus noch weiterwachsen.
Le plus grand défi auquel la Suisse est confrontée sur la scène internationale est, selon moi, le brouillage de l'image internationale de la Suisse, en particulier de la définition de la neutralité.
Au cours des XXe et XXIe siècles, la situation internationale et la société suisse ont radicalement changé. La nouvelle situation exige du parlement et du gouvernement fédéral qu'ils examinent régulièrement et en profondeur leurs propres politiques nationales, y compris les anciennes politiques qui étaient autrefois correctes et efficaces. Ils décident ensuite s'il convient de les maintenir, de les modifier ou de les abandonner.
L'image internationale de la Suisse doit être claire, civilisée et durable.
谈到瑞士在国际舞台上所面临的最大挑战,我认为是瑞士的国际形象变得模糊不清,特别是中立的定义。
在20和21世纪,国际时局和瑞士社会都发生了天翻地覆的变化。新的形势要求国会和联邦政府定期彻底地检查自己的国家政策,包括那些曾经正确有效的古老政策。然后决定是否应该保持,修改或抛弃。
瑞士的国际形象必须是清晰的,符合文明规则的,可以持续施行的。
Quelle est votre opinion concrète sur la neutralité suisse ? Comment pensez-vous que la Suisse devrait se positionner - surtout maintenant que nous voyons un nouveau bloc potentiel dans la géopolitique ?
Was ist Ihre konkrete Meinung zur schweizerischen Neutralität? Wie denken Sie, sollte sich die Schweiz positionieren - vor allem jetzt, wo wir eine potenzielle neue Blockbildung in der Geopolitik sehen?
Selon l'Office fédéral de la protection de la population, le plus grand risque pour la Suisse est une pénurie d'électricité de longue durée.
En Suisse, il semble que l'on n'ait jamais remarqué que si nous avons eu de l'électricité en toute sécurité l'hiver dernier, c'est parce que l'Allemagne a fait monter en puissance ses centrales à gaz et que, parallèlement, l'industrie allemande a réduit ses besoins en gaz de 30%. De plus, l'hiver a été très chaud. La situation de départ n'a pas changé pour l'hiver prochain, sauf que nous savons désormais que l'UE/Allemagne ne voit aucune raison de continuer à nous fournir de l'électricité en hiver. Il ne sert à rien de construire autant de centrales de secours ou de constituer des réserves d'électricité dans des barrages. L'électricité s'écoulera tout simplement dans le réseau européen jusqu'à ce qu'il s'effondre ou soit divisé par des brownouts. Au plus tard à ce moment-là, la Suisse ne pourra plus compter que sur elle-même pour son approvisionnement en électricité. Il est incroyable de voir à quelle vitesse on peut s'habituer aux risques et ne rien faire.
Gemäss Bundesamt für Bevölkerungsschutz gilt als grösstes Risiko der Schweiz eine lang andauernde Strommangellage.
In der Schweiz scheint man nie wahrgenommen zu haben, dass wir den letzten Winter nur sicher Strom hatten, weil Deutschland seine Gaskraftwerke hoch gefahren hat und gleichzeitig die deutsche Industrie ihren Gasbedarf um 30% gesenkt hat. Zudem war es ein sehr warmer Winter. An der Ausgangslage hat sich für den nächsten Winter nichts geändert, ausser dass wir nun wissen, dass die EU/Deutschland keinen Grund sieht uns weiterhin Strom im Winter zu liefern. Es nützt auch nichts, wenn wir noch soviele Notkraftwerek bauen oder Stromreserven in Stauseen aufbauen. Der Strom wird schlicht ins europäische Verbundnetz abfliessen bis dieses zusammbricht oder mittels Brownouts aufgeteilt wird. Spätestens dann, ist die Schweiz mit ihrer Stromversorgung auf sich selbst angewiesen. Es ist unglaublich, wie schnell man sich offensicht an Risiken gewöhnen kann und nichts unternimmt.
Merci pour votre contribution, Monsieur Loepfe ! Quelles solutions envisagez-vous dans ce domaine ?
Danke für Ihren Beitrag, Herr Loepfe! Was für Lösungen sehen Sie in diesem Problemfeld?
Nous achetons en Norvège.
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Cela suffira-t-il ?
Ob das genügt?
Malheureusement, nous avons un gouvernement faible et moyen, qui n'est pas du tout adapté aux défis post-modernes qui sont gigantesques. La Suisse n'a jamais, ou presque, voulu de fortes personnalités au gouvernement pour des raisons institutionnelles de fragmentation de la politique dans un trop grand nombre de petits cantons. Petit, c'est bien, mais pas quand des nuages très gris s'amoncellent sur la situation géopolitique internationale, avec en plus le grave problème du changement climatique, qui se produit beaucoup plus vite que prévu ! Je crois qu'en tant que pays trop paisible et tranquille, nous ne nous sommes pas habitués à devoir faire face à des problèmes qui sont loin d'être "confortables". Par exemple, le problème urgent des centrales atomiques a été mis à la cave trop tôt à cause du vote "populaire". Mais sur ces problèmes éminemment techniques ( !), le peuple n'a aucune compétence pour juger raisonnablement. Aujourd'hui, il n'y a même pas le courage politique de ressusciter le problème de l'énergie atomique, en espérant des énergies alternatives, tout en sachant très bien qu'elles seront totalement insuffisantes.
Purtroppo abbiamo un governo debole-mediocre, per niente adatto alle sfide postmoderne che sono gigantesche. La Svizzera non ha mai, o quasi, voluto personalità forti in governo per ragioni istituzionali di politica frammentata in troppi piccoli cantoni. Piccolo sarà bello, ma non quando sulla situazione geopolitica internazionale si addensano nuvole molto grigie, con l'aggiunta del grave problema dei cambiamenti climatici, che avvengono molto più rapidamente del previsto! Credo proprio che da paese troppo tranquillo e pacioso, ci siamo ormai disabituati a dover affrontare problemi tutt'altro che "comodi" . Ad es. l'urgente problema delle centrali atomiche fu messo troppo presto in cantina per via del voto "popolare". Ma su questi problemi eminentemente tecnici (!) il popolo non ha nessuna competenza per poter giudicare in modo assennato. Ora non si ha nemmeno il coraggio politico di riesumare la questione dell'energia atomica, sperando nelle energie alternative, ben sapendo che saranno del tutto insufficienti .
Merci pour votre contribution, Monsieur Brenni. Vous abordez un point sensible : Les électeurs doivent régulièrement se prononcer dans les urnes sur des affaires qui requièrent un savoir-faire que peu d'entre eux possèdent. Mais cet aspect est pris en compte dans l'instrument des votations populaires, car si seuls ceux qui sont censés avoir une vue d'ensemble décident, des questions délicates se posent rapidement quant à la légitimité démocratique.
Et votre premier point peut être considéré comme le résultat du fédéralisme. Comme nous le voyons régulièrement, celui-ci atteint ses limites en temps de crise...
Danke für Ihren Beitrag, Herr Brenni. Sie sprechen einen wunden Punkt an: Die Stimmbevölkerung muss immer wieder an der Urne über Geschäfte entscheiden, die ein Knowhow voraussetzen, das kaum alle haben können. Das ist aber im Instrument der Volksabstimmungen einkalkuliert, denn wenn nur diejenigen entscheiden, die vermeintlich den ganzen Durchblick haben, dann stellen sich schnell heikle Fragen hinsichtlich der demokratischen Legitimation.
Und Ihren ersten Punkt kann man als Resultat des Föderalismus sehen. Wie wir immer wieder sehen, kommt der in Krisenzeiten an seine Grenzen...
Je suis tout à fait d'accord avec cette déclaration. Tant que nous continuerons à fonctionner en 26 petits royaumes (cantons) au lieu d'un pays uni, il ne faut pas s'attendre à beaucoup de changements. Parmi les sept personnes qui occupent les postes les plus importants de notre gouvernement, beaucoup devraient être remplacées par des personnes capables de traiter les problèmes actuels. L'accueil permanent de tous, en particulier des personnes qui viennent en Suisse pour bénéficier de soins médicaux gratuits et d'un revenu gratuit, tous financés par les contribuables suisses, devrait être renvoyé d'où il vient. Si le contribuable suisse moyen se rendait compte de la véritable charge financière qu'il supporte avec la politique actuelle d'accueil de tous, il aurait du mal à le croire. J'ai travaillé avec une organisation Asyl, j'ai pu voir par moi-même ce qui se passait et ce qui se passe encore. Mon sang n'a fait qu'un tour. Dans le même temps, nos sept sages et le Staende/Kantonsrat n'ont plus de fonds pour augmenter l'AVS, la rente des invalides, l'éducation et le soutien général aux pauvres, qui sont nombreux dans notre pays,
Completely agree with this statement. As long as we continue to operate in 26 small kingdoms (cantons) instead of a united country CH, not much change can be expected. Of the seven people who occupy the most important positions in our Government many should be replaced with people capable to deal with the current issues at hand. The ongoing welcome to all, especially people who come to CH to enjoy free medical care, and free income, all supported by the Swiss tax payers, should be returned to where they came from. If the average Swiss tax payer would realize what true financial burden they shoulder with the current welcome to all policy, they would have a hard time to believe it. I worked with an Asyl organization, I could see for myself what was and is going on. It made my blood boil. At the same time our seven wise men/women and the Staende/Kantonsrat have no funds left over for more AHV, for Invaliden Rente, for Education and more general support of poor people of whom are many living in our country.,
La situation financière de la Suisse est heureusement en bon état, c'est pourquoi je vois les choses de manière nettement moins dramatique que vous. Mais en ce qui concerne le gouvernement : il est régulièrement question d'adapter la composition du Conseil fédéral aux défis actuels, par exemple en élargissant le nombre de sièges. Cela irait-il dans votre sens ?
Die Finanzlage der Schweiz ist ja zum Glück in einem guten Zustand, insofern sehe ich das deutlich weniger dramatisch als Sie. Aber zur Regierung: Es gibt ja immer wieder Diskussionen darüber, die Zusammenstellung des Bundesrates den heutigen Herausforderungen anzupassen, beispielsweise durch eine Erweiterung der Sitze. Wäre das in Ihrem Sinne?
Accepter qu'un gouvernement ait le droit de parler au nom de tous les citoyens est déjà une déclaration. Nous avons créé le gouvernement pour faire ce que nous ne pouvons pas accomplir en tant qu'individus, comme construire et entretenir des routes, des ponts et d'autres infrastructures, assurer la protection de la police et des pompiers, etc. Je ne veux pas que mon gouvernement parle en mon nom sur la scène internationale. C'est dangereux et inutile. Si j'engage un plombier pour réparer un tuyau cassé, je ne veux pas qu'il me dise de quelle couleur peindre mon salon. Les gouvernements cherchent toujours à étendre leur pouvoir. La Suisse est exceptionnelle en raison de sa neutralité. Lorsque les gens demandent au gouvernement suisse d'exprimer son opinion, celui-ci devrait répondre : "Le gouvernement suisse n'a ni le pouvoir ni l'autorité de parler au nom de tous ses citoyens ou de contrôler leur comportement dans ce domaine".
To accept that a government has the right to speak for all of the citizens already makes a statement. We created government to do those things we cannot accomplish as individuals such as build and maintain roads, bridges, and other infrastructure, police and fire protection, et cetera. I don't want my government to speak for me on the world stage. It is dangerous and unnecessary. If I hire a plumber to fix a broken pipe, I don't want them to tell me what color to paint the living room. Governments always seek to expand their power. Switzerland is exceptional due to its neutrality. When people call for the Swiss government to voice an opinion, it should respond 'The Swiss government has no power or authority to speak for all of its citizens or to control their behavior in this matter.'.
Or, la Constitution confère au gouvernement le pouvoir et l'autorité de définir la politique étrangère. Car même un pays absolument neutre aurait besoin d'une politique étrangère - ou pensez-vous qu'il puisse exister quelque chose comme un ordre international sans politique étrangère ?
Nun, die Regierung hat aber gemäss Verfassung Macht und Befugnis, um die Aussenpolitik zu gestalten. Denn selbst ein absolut neutrales Land bräuchte eine Aussenpolitik - oder sind sie der Meinung, dass es so etwas geben kann wie eine internationale Ordnung ohne Aussenpolitik?
J'ai vécu dans 4 pays différents et actuellement la Suisse subit des pressions pour prendre la même direction que l'UE, la dictature et le pouvoir centralisé. Ne perdez pas vos valeurs. J'ai grandi sous le communisme et NON, ce système ne fonctionne pas. Donner le pouvoir à un gouvernement de prendre des décisions en votre nom NE FONCTIONNE PAS, n'a jamais fonctionné et ne fonctionnera jamais. La démocratie directe n'est pas facile, mais c'est le système politique le plus durable que l'homme ait jamais créé. Si vous vous engagez dans la voie de l'UE, vous le regretterez.
I have lived in 4 different countries and currently Switzerland is being pressured to take the same direction EU is taking, dictatorship and centralized power. Please do not loose your values. I grew up during communism and NO, this system does not work. Giving power to a government to make the decisions on your behalf DOES NOT WORK, has never worked and will never work. Direct Democracy is mot easy but it is the most sustainable political system humans have ever created. If you shift into the direction of EU, you will regret it.
La question de l'UE ne s'est pas posée ici, mais bon : contrairement à ce que vous pensez, je n'y vois ni dictature, ni régime communiste. De plus, en Suisse, tout rapprochement avec l'UE serait une question qui serait tranchée par les urnes, donc à l'aide d'un instrument de démocratie directe. Cela irait donc dans votre sens, n'est-ce pas ?
Die Frage der EU hat sich hier nicht gestellt, aber gut: Entgegen Ihrer Meinung sehe ich da weder eine Diktatur, noch ein kommunistisches Regime. Zudem wäre in der Schweiz jede Annäherung an die EU eine Frage, die an der Urne von der Bevölkerung entschieden würde - also mithilfe eines direktdemokratischen Instruments. Dann wäre es ja wieder in Ihrem Sinn, nicht?
Soit vous êtes neutre, soit vous arrêtez de faire semblant.
Either BE neutral or STOP pretending.
Pensez-vous que la Suisse n'est plus neutre ?
Glauben Sie, dass die Schweiz nicht mehr neutral ist?
Tout dépend d'où vient le vent !
Kommt darauf an, woher der Wind blaeht!
Il est naturel qu'il change régulièrement de direction. La Suisse est-elle neutre ou non ? Ou est-ce que la question est naïve - et c'est finalement une question de point de vue ?
Der ändert naturgemäss seine Richtung immer wieder. Ist denn die Schweiz nun neutral oder nicht? Oder ist die Frage naiv - und es ist letztlich Ansichtssache?
Comme il se doit.
Wie es gerade passt.
Elle est neutre du point de vue de la Suisse. Le concept de neutralité peut être interprété de différentes manières.
It is neutral from the Swiss perspective. The concept of neutrality can be interpreted in many ways.
Cessez de vous vanter. Il faut être honnête et ne pas se contenter de paraître l'être.
Stop bragging. One has to be honest, not just appear to be.
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