C’est grâce à la précision et à la patience des artisans de la pellicule que le public du Festival du film de Locarno peut encore ressentir la magie des films en 16 ou 35 mm. swissinfo.ch les a accompagnés durant les préparatifs de cette 69e édition.
Si vous souhaitez entamer une conversation sur un sujet abordé dans cet article ou si vous voulez signaler des erreurs factuelles, envoyez-nous un courriel à french@swissinfo.ch.
En savoir plus
Plus
La magie du 35 mm revit à Locarno
Ce contenu a été publié sur
L’image de Bud Spencer dans «On l’appelle Trinita» apparaît par enchantement sous la lumière d’une lampe. La main protégée par un gant, Davide Dalet fait glisser la pellicule entre ses doigts. En avant et en arrière. Il la hume, puis la scrute et enfin la rembobine avec soin. Il cherche de petits défauts qui se…
Votre abonnement n'a pas pu être enregistré. Veuillez réessayer.
Presque fini... Nous devons confirmer votre adresse e-mail. Veuillez cliquer sur le lien contenu dans l'e-mail que nous venons de vous envoyer pour achever le processus d'inscription.
Vous pouvez trouver un aperçu des conversations en cours avec nos journalistes ici. Rejoignez-nous !
Si vous souhaitez entamer une conversation sur un sujet abordé dans cet article ou si vous voulez signaler des erreurs factuelles, envoyez-nous un courriel à french@swissinfo.ch.