Des perspectives suisses en 10 langues

Comment avez-vous obtenu ou perdu la nationalité suisse?

Modéré par: Melanie Eichenberger

Jusqu’en 1953, les Suissesses qui épousaient un étranger perdaient leur nationalité. Ensuite, jusqu’en 1992, elles devaient déclarer leur volonté de conserver leur passeport rouge à croix blanche. Qui n’était pas au courant de cette obligation perdait sa nationalité et, par la suite, ses descendant-e-s également. 

Avez-vous également perdu votre nationalité suisse ou l’avez obtenue par naturalisation? Quel impact cela a-t-il eu sur votre vie? Racontez-nous votre histoire.

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Johannes Brialdur Schelck
Johannes Brialdur Schelck
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Bonjour. Je m'appelle João Gabriel Schelck et ma lignée a perdu la nationalité suisse lorsque mon arrière-grand-père Joseph Emmanuel Lugon a immigré de Suisse au Brésil. Le marché a été conclu par le roi de l'époque, Dom João VI, qui avait besoin de main-d'œuvre dans le pays, et qui a donc signé avec des dizaines de Suisses désireux d'immigrer au Brésil. L'une des conditions de l'accord était l'abandon de la nationalité suisse et l'obtention de la nationalité brésilienne, qui était à l'époque un royaume du Portugal.

Hello. My names is João Gabriel Schelck and my line lost the Swiss Citizenship when my great-grandfather Joseph Emmanuel Lugon immigrated from Switzerland to Brazil. The deal was made by the king at the time Dom João VI, who needed working labor in the country, therefore, signing with dozens of Swiss with interest on immigrating to Brazil. And one of the conditions of the deal was abdicating of the Swiss citizenship and becoming a Brazilian citizen, at the time, a Kingdom of Portugal.

pauchard@optusnet.com.au
pauchard@optusnet.com.au
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Il serait bon que les descendants des émigrants suisses aient la possibilité de faire reconnaître leur citoyenneté suisse. Leurs dossiers peuvent être examinés pour confirmer qu'ils ont été bons citoyens dans leur pays actuel. La citoyenneté suisse n'aurait pas besoin d'inclure des avantages supplémentaires, mais seulement le droit à une identité et à un passeport suisses. Merci, William Pauchard.

It would be good if descendents of Swiss emigrants could be given an opportunity to have their Swiss citizenship recognized. Their records can be reviewed to confirm their good citizenship history in their current countries. Swiss citizenship would not need to include additional benefits, only the right to a Swiss identity and passport . Thank you, William Pauchard.

aalthaus@hotmail.com
aalthaus@hotmail.com
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La question "Comment avez-vous perdu la nationalité suisse ?" appelle une réponse correcte. Il faut savoir qu'au 19e siècle, les pays européens, dont la Suisse, ont encouragé l'émigration des citoyens suisses par les gouvernements, les médias et les sociétés d'émigration. Cette émigration se faisait avec le soutien des autorités locales et des voisins afin que ceux qui se trouvaient dans une situation difficile ou ne pouvaient pas émigrer, c'était une politique d'émigration qui se faisait avec la conviction que c'était la bonne chose à faire. Les familles qui émigraient n'étaient pas moins patriotes que celles qui restaient au pays, et personne à l'époque ne pensait que ces émigrants n'étaient pas de vrais Suisses ou qu'ils faisaient quelque chose de mal. Dans le pays de destination, par exemple l'Argentine, certaines familles suisses sont restées et d'autres sont retournées dans leur pays d'origine. Les familles suisses à l'étranger ont appris à leurs enfants la langue, du moins à la première génération, et les coutumes, ont maintenu des liens et ont créé des institutions suisses à l'étranger. Elles ne pensaient pas, au XIXe siècle et au début du XXe siècle, qu'il serait nécessaire d'avoir un papier pour être suisse, mais plutôt qu'elles se sentaient suisses et conservaient leurs coutumes, et ne pensaient pas que la Suisse leur demanderait plus tard un papier pour que leurs enfants puissent vivre, étudier ou travailler dans la mère patrie. Au XIXe siècle, ils ne pensaient pas que le document de nationalité suisse serait utile à ceux qui avaient des contacts avec leurs parents en Suisse, ni que l'absence d'un tel document nuirait à leurs enfants ou petits-enfants dans leur quête d'une vie meilleure. Ils sont devenus argentins mais suisses argentins, c'est-à-dire qu'ils ont tout gardé de la Suisse et que la Suisse a maintenu et maintient une très bonne relation avec les descendants des Suisses de l'étranger qui, soit dit en passant, ne se qualifient pas, du moins en Argentine, de "descendants", ce qui fait la différence, mais se qualifient eux-mêmes et selon le contexte de "Suisses". Or, l'erreur de la question est de chercher une faute dans le fait de ne pas avoir de document de nationalité suisse, ce qui renverse la charge de la preuve : parce que vos parents ou grands-parents n'ont pas été en mesure de chercher le document de nationalité suisse et de le produire ? Ce qui est trop présumer, à savoir qu'ils ne l'ont pas fait parce qu'ils n'étaient pas intéressés à ce que leurs petits-enfants ou leurs enfants reviennent un jour étudier, travailler et vivre dans la Mère Patrie, la Suisse. Je pense que le signe le plus extraordinaire de patriotisme et d'amour pour la Suisse est qu'après plus de cent ans dans un autre pays, des générations de descendants de Suisses à l'étranger maintiennent encore de nombreuses traditions, les dialectes et les langues, les danses, la musique, les vêtements typiques, la nourriture suisse, donnent des noms suisses à leurs entreprises, forment des associations suisses et veulent recevoir la nationalité suisse. Je ne pense pas qu'il faille chercher des coupables. Je raconterai plus tard pourquoi je n'ai pas la nationalité suisse, mais comme une anecdote à partager avec le groupe, dans ce seul but.

La pregunta “¿Cómo perdió la nacionalidad suiza?” para contestarla es necesario corregirla. Hay que señalar que en el siglo XIX los países europeos, entre ellos, Suiza fomentaron desde los gobiernos, los medios de comunicación y empresas dedicadas a la emigración, la emigración de ciudadanos suizos. Esta emigración se realizó con el apoyo incluso de intendencias y vecinos para que aquellos que pasaban por una situación penosa o no pudieran emigrar, fue una política de emigración que se hizo con el convencimiento de que era lo correcto. Las familias que emigraron no eran menos patriotas que las que se quedaron y nadie, en su momento, pensó en que esos emigrantes no eran verdaderos suizos o que hacían algo incorrecto. En el país de destino, por ejemplo, Argentina algunas familias suizas se quedaron y otras volvieron al país de origen, se sufrió mucho el desarraigo. Las familias suizas en el extranjero enseñaron a sus hijos el idioma, por lo menos en la primera generación, y las costumbres, mantuvieron lazos y formaron instituciones suizas en el extranjero. No pensaban en el siglo XIX y principios del XX que iba a ser necesario tener un papel para ser suizos sino que se sentían suizos y conservaban sus costumbres, no pensaron que, luego, Suiza les pediría un papel para que sus hijos pudieran vivir, estudiar o trabajar en la Madre Patria. En el siglo XIX no se pensaba que el documento de la nacionalidad suiza pudiera reportarle algún beneficio a quienes mantenían contactos con sus familiares en Suiza o que la falta de ese documento iba a perjudicar a sus hijos o nietos en su búsqueda de una vida mejor. Se hicieron argentinos pero suizos argentinos, es decir, conservaban todo de Suiza y Suiza mantenía y mantiene una muy buena relación con los descendientes de suizos en el extranjero que por cierto no se denominan, por lo menos en Argentina, como “descendientes” haciendo la diferencia sino que se llaman a sí mismos y según el contexto “suizos”. Ahora, el error de la pregunta es buscar una culpa o un culpable en no tener el documento la nacionalidad suiza lo que invierte la carga de la prueba. ¿Porque tus padres o abuelos no han sido capaces de buscar el documento de la nacionalidad suiza y de confeccionarlo? Lo que implica suponer demasiado, a saber, que no lo hicieron porque no estaban interesados en que sus nietos o hijos volvieran algún día para estudiar, trabajar y vivir en la Madre Patria, Suiza. Creo que la muestra más extraordinaria de patriotismo y de amor a Suiza es que después de más de cien años en otro país, las generaciones de descendientes de suizos en el extranjero siguen manteniendo muchas de las tradiciones, los dialectos e idiomas, los bailes, la música, la ropa típica, la comida suiza, ponen nombres suizos a sus negocios, forman asociaciones suizas y quieren recibir la nacionalidad suiza. No creo que sea una cosa de buscar culpables. Después contaré mi historia de por qué no tengo la nacionalidad suiza pero como una anégdota más para compartir con el grupo, con ese único objetivo.

Freddy
Freddy
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Mon grand-père a omis l'enregistrement consulaire de mon père et de ses frères et sœurs.
Cette omission a été régularisée lorsque mon père a eu presque 60 ans et qu'il a atteint l'âge de la majorité.
Au moment de confirmer la citoyenneté de mon père, les autorités suisses l'ont étendue à ma mère, mais nous l'ont refusée, à moi et à mes frères et sœurs, car nous étions majeurs.
J'aimerais savoir s'il existe un moyen de me mettre en conformité avec la législation actuelle.

Escribo desde Lima. mi abuelo omitió la registración consular de mi padre y sus hermanos.
Esta omisión fue regularizada cuando mi padre bordeaba los 60 años y ya era mayor de edad.
Al momento de confirmarle la ciudadanía a mi padre, la autoridad suiza extendió la misma para mi madre, pero negó la ciudadanía para mí y para mis hermanos, por cuanto ya éramos mayores de edad.
Me gustaría saber si existe alguna forma de adecuarme a la legislación vigente

jbact
jbact

Bonjour
mon grand père Friedrich a émigré en France vers 1919 ma mère Yvonne et ses deux frères et soeurs sont arrivés en 1920.
Yvonne a travaillé très jeunes dans les usines de Moutiers 73 et à la filature Stunzi à Faverges 74210
mariée à un haut savoyard elle perd , sans le savoir sa nationalité
trois enfants, dont moi né en 1944, la vie est très dure mais le couple est courageux.
Nous habitons Faverges population ''mixte'' suisse et francaise. Pour mes copains français je suis le petit suisse, dont on se moque pur les suisses plus discrets le frouze je le vis assez mal jusqu'à mon entrée en sixième comme interne

Mari.l1
Mari.l1
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En fait, les actes de décès de mes arrière-arrière-grands-parents indiquent qu'ils étaient Suisses du canton du Tessin, et certains de leurs enfants ont également continué à avoir la nationalité suisse s'ils sont nés en Suisse, ce qui signifie qu'ils ne l'ont pas perdue. Ils ont également eu des enfants en Uruguay et en Argentine, mais je ne sais pas s'ils ont reçu la nationalité suisse. Mes arrière-arrière-grands-parents sont décédés en Argentine en tant que Suisses.

En realidad en las actas de defunciones de mis tatarabuelos figura Suizos del cantón Ticino, y algunos de sus hijos tb continuaron a tener la ciudadanía Suiza los que era nacidos en Suiza Quiere decir que no la perdieron. Tambien tuvieron hijos en Uruguay y Argentina pero no sé si a ellos le dieron ciudadanía Suiza. Mis tatarabuelos murieron en Argentina como Suizos.

swissjav
swissjav
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Mes grands-parents paternels sont arrivés vers 1923. Il n'y a aucune trace de l'arrivée de mon grand-père, mais il y a une trace de celle de ma grand-mère, exactement cette année-là, sur le Vapor Mafalda.
Lorsque je suis né, ils étaient déjà décédés. Mon père est né dans la province de Mendoza, dans un village très éloigné de toute ville, à la campagne. Je ne sais pas si on a essayé de l'enregistrer, lui ou ses frères et sœurs, mais en 1931 en Argentine, vivre dans un village près de la Cordillère des Andes rendait les choses beaucoup plus compliquées. Mon père est décédé lorsque j'avais 10 ans et, malheureusement, je n'avais pris aucune disposition pour le récupérer. Vers l'âge de 22 ans, j'ai eu l'occasion de postuler pour un emploi dans une entreprise suisse, par l'intermédiaire d'un ingénieur que j'avais rencontré dans le cadre d'un emploi que j'occupais. J'ai essayé de faire une demande de récupération, mais on ne m'a même pas donné l'occasion de raconter mon histoire. À l'ambassade, on m'a pratiquement claqué la porte au nez. J'ai des connaissances qui vivent en Suisse et qui ont la nationalité parce qu'elles ont épousé des enfants d'Italiens, qui l'ont obtenue en travaillant là-bas pendant des années. Mais moi, ayant la moitié de mon sang suisse, je suis comme un parfait étranger. C'est assez triste, car je suis très fière de mes origines et de mes racines, et j'essaie toujours de représenter au mieux la culture paternelle. Aujourd'hui, je voudrais la retrouver, pour eux, pour leur honneur. Et parce que je sais que c'est inscrit dans la Constitution. Il n'est pas possible que quelqu'un, parce qu'il a de l'argent, l'obtienne facilement, et que ses enfants ou petits-enfants soient traités comme des parias.

Mis abuelos paternos vinieron alrededor de 1923. No hay registro de la llegada de mi abuelo, pero si de mi abuela, exactamente en ese año, en el Vapor Mafalda.
Cuando yo nací, ellos ya habían fallecido. Mi padre nació en la provincia de Mendoza, y en un pueblo realmente alejado de cualquier ciudad, en el campo. No se si intentaron anotarlo a el, o a sus hermanos, pero en el año 1931 en Argentina, vivir en un pueblo cerca de la Cordillera de los Andes hacia todo mucho mas complicado. MI padre falleció cuando yo tenia 10 años, y lamentablemente no había realizado tramite de recuperación. Cuando rondaba por los 22 años de edad, tuve una firme oportunidad de aplicar para un trabajo en una empresa Suiza, a través de un Ingeniero que conocí en un trabajo donde estaba. Intente tramitar la recuperación, pero no me dieron ni la oportunidad de contar mi historia. En la embajada, prácticamente, me cerraron la puerta en la cara. Tengo personas conocidas, que viven en Suiza, y tienen la nacionalidad, por haberse casado con hijos de Italianos, que a su vez la consiguieron por trabajar años allí. Pero yo, teniendo la mitad de mi sangre suiza, soy lo mismo que un perfecto extraño. Es bastante triste, ya que tengo un gran orgullo por mis orígenes, y raíces, y siempre trato de representar mi cultura paterna, de la mejor manera. Hoy me gustaría recuperarla, por ellos, por su honor. Y porque se que está escrito en la constitución. No puede ser que alguien, solo por tener dinero, la obtenga fácilmente, y los hijos o nietos, sean tratados como parias.

Raul76
Raul76
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Je m'appelle Raul et j'habite à Villa Carlos Paz, Cordoba, Argentine.
Mes grands-parents sont venus de Suisse Zeneggen, ils n'ont jamais fait les papiers au consulat, c'est pourquoi mes parents ont perdu la citoyenneté, ils gardent les traditions suisses dans les réunions de famille, ce serait très touchant qu'ils aient la possibilité d'avoir accès à la citoyenneté.
Salutations.

Mi nombre es Raul vivo en Villa Carlos Paz, Córdoba, Argentina.
Mis abuelos vinieron desde Suiza Zeneggen, nunca hicieron los papeles en el consulado razón por la cual mis padres perdieron la ciudadania, ellos mantienen las tradiciones suizas en las reuniones familiares, sería muy emotivo que tengan la posibilidad de acceder a la ciudadanía
Saludos.

descendientessuizos
descendientessuizos
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Face à des propos tels que ceux exprimés, @Elena Lacroix Jaeggy
chargées de préjugés et de désinformation, nous avons décidé de répondre.

Les expatriés suisses et leurs descendants ont été des ambassadeurs de la culture, du travail et de l'effort, contribuant à la fois à leur pays d'origine et aux pays qui les ont accueillis.

Qualifier l'enregistrement des descendants dans les consulats d'"exploitation scandaleuse", comme s'il s'agissait d'un acte d'abus, est non seulement faux, mais méconnaît le droit légitime à la préservation d'une identité culturelle et nationale. La transmission de la nationalité n'est pas une simple concession d'"avantages matériels". C'est un droit reconnu par les valeurs démocratiques de la Suisse, fondé sur le respect des liens familiaux et culturels (principe IUS SANGUINIS). Proposer une limitation arbitraire de la nationalité à une seule génération, c'est méconnaître le sentiment d'appartenance et de continuité historique qui caractérise les nations européennes. Une telle mesure est non seulement discriminatoire, mais elle fragmenterait également la relation de milliers de familles avec leur héritage suisse, portant atteinte aux principes d'égalité et de justice.

Les personnes d'origine suisse ne sont ni un fardeau ni une menace. Beaucoup d'entre nous ont contribué au renforcement des liens économiques, culturels et politiques entre la Suisse et leur pays de résidence. Prétendre que notre intérêt pour le maintien de notre nationalité est "matérialiste" est un jugement partial et scandaleux.

Nous en appelons à l'empathie et à la raison. Au lieu de favoriser les divisions et les restrictions entre Suisses de sang, je vous invite à réfléchir à la manière dont nous pouvons renforcer les relations entre la Suisse et ses communautés d'expatriés. L'identité suisse n'est pas affaiblie par l'inclusion de ceux d'entre nous qui ont du sang suisse, mais enrichie par la présence de personnes qualifiées, compétentes et qui placent la Suisse au premier plan.

Descendants suisses par nationalité de :
Chili, Argentine, Uruguay, Paraguay, Brésil.

Ante afirmaciones como las expresadas, @Elena Lacroix Jaeggy
cargadas de prejuicios y desinformación decidimos contestarle.

Los suizos expatriados y sus descendientes hemos sido embajadores de cultura, trabajo y esfuerzo, aportando tanto a sus países de origen como a los países que los acogieron.

Calificar de "explotación escandalosa" la inscripción de descendientes en los consulados, como si fuera un acto de abuso, no solo falta a la verdad, sino que también ignora el derecho legítimo a preservar una identidad cultural y nacional. La transmisión de la nacionalidad no es una simple concesión de "ventajas materiales". Es un derecho reconocido por los valores democráticos de Suiza, basado en el respeto a los lazos familiares y culturales (Principio IUS SANGUINIS). Proponer una limitación arbitraria de la nacionalidad a una sola generación revela un desconocimiento del sentido de pertenencia y continuidad histórica que define a las naciones europeas. Esta medida no solo es discriminatoria, sino que también fragmentaría la relación de miles de familias con su herencia suiza, socavando los principios de igualdad y justicia.

Los descendientes de suizos no somos una carga ni una amenaza. Muchos de nosotros hemos contribuido al fortalecimiento de los lazos económicos, culturales y políticos entre Suiza y sus países de residencia. Pretender que nuestro interés en mantener la nacionalidad es "materialista" es un juicio sesgado e indignante.

Hacemos un llamado a la empatía y la razón. En lugar de fomentar divisiones y restricciones entre suizos de sangre, invito a reflexionar sobre cómo podemos fortalecer las relaciones entre Suiza y sus comunidades expatriadas. La identidad suiza no se debilita al incluirnos a aquellos que tenemos sangre suiza, sino que se enriquece al tener gente capacitada, apta y que ponen a Suiza en primer lugar.

Descendientes suizos por la Nacionalidad de:
Chile, Argentina, Uruguay, Paraguay, Brasil.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger SWI SWISSINFO.CH
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@descendientessuizos

Chers descendants suisses du Chili, d'Argentine, d'Uruguay, du Paraguay et du Brésil.
Merci beaucoup pour votre mise en perspective, votre prise de position et votre rectification du commentaire.

Liebe Schweizer Nachkommen aus Chile, Argentinien, Uruguay, Paraguay, Brasilien
Vielen Dank für Ihre Einordnung, die Stellungnahme und die Richtigstellung zum Kommentar.

Eduardo Amstalden
Eduardo Amstalden
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Je m'appelle Eduardo Amstalden.
Mes ancêtres se sont installés au Brésil en raison des conditions difficiles auxquelles ils étaient confrontés en Suisse. La ville où je suis né et où je vis encore aujourd'hui, Indaiatuba, dans l'État de São Paulo, a été l'une des villes qui a accueilli de nombreux immigrants suisses, et elle abrite également une importante colonie suisse, l'Helvétie.
Malheureusement, mes ancêtres n'ont pas enregistré leurs enfants auprès des consulats en raison des difficultés qui existaient à l'époque. J'ai donc perdu ma nationalité.
Depuis mon enfance, j'ai toujours voulu visiter la Suisse. Ce pays a toujours été considéré comme faisant partie de la famille, en plus de sa culture et de ses habitudes. Je me suis également toujours intéressée à l'histoire, à la géographie et à la culture de la Suisse, et j'ai même étudié le français pendant 6 ans, qui est l'une des langues officielles du pays.
En outre, je suis allée quatre fois en Suisse et, aujourd'hui encore, ma famille et moi nous intéressons à la culture de ce pays.
Chaque année, nous assistons à la Festa da Tradição, à la Colônia Helvetia à Indaiatuba.
J'aimerais beaucoup recevoir la nationalité suisse en tant que droit de Ius Sanguinis.

My name is Eduardo Amstalden.
My ancestors moved to Brazil due to the difficult conditions they faced in Switzerland. The city where I was born and still live today, Indaiatuba, in the state of São Paulo was one of the cities that received many Swiss immigrants, and it is also home to a large Swiss colony - Helvetia.
Unfortunately, my ancestors did not register their children at the consulates due to difficulties that existed at the time. This caused me to lose my nationality.
Since I was a child, I have always wanted to visit Switzerland. This country has always been considered part of the family, in addition to its culture and habits. I have also always been interested in the history, geography and culture of Switzerland, and I even studied French for 6 years, which is one of the country's official languages.
In addition, I have been to Switzerland 4 times and even nowadays I and my family are interested in the nation's culture.
Every year we usually attend the Festa da Tradição, at the Colônia Helvetia in Indaiatuba.
I would very much like to receive Swiss nationality as a right of Ius Sanguinis.

Leon
Leon
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J'ai lu l'article et certains commentaires, voici mon point de vue :
Je suis né et j'ai grandi en Suisse, j'ai toujours vécu en Suisse, tous mes ancêtres que je connais viennent du même canton. Or, dans l'article, ils avancent que bien qu'ils ne soient que des Suisses précentiles, leur identité avec la Suisse est telle qu'un refus de leur nationalité est injuste parce qu'il les prive de leur lien avec leur patrie. Je dois dire que je trouve cela assez bizarre car je ne ressens pas la même chose qu'eux à l'égard de la Suisse. Bien sûr, il y a les traditions, la langue, etc. qui lient les Suisses, mais la notion de se sentir suisse est après tout assez absurde, franchement. Si je devais aller dans la rue et demander à des gens au hasard, il y a de fortes chances que je reçoive tellement de réponses différentes que distiller un sentiment suisse reviendrait à ne rien dire du tout.
Par ailleurs, ils affirment que la limite d'âge pour revendiquer la nationalité est arbitraire mais, dans le même souffle, ils proposent que la citoyenneté soit accordée plus facilement jusqu'à la cinquième génération. Mais n'est-ce pas là le véritable arbitraire, que de dire que la nationalité devrait être accordée jusqu'à une génération arbitraire ?
En outre, je pense que la citoyenneté n'est pas vraiment une question d'identité. Il s'agit d'un document juridique qui s'accompagne de privilèges mais aussi, à mon avis, de responsabilités. Si la pétition ne visait qu'à obtenir une reconnaissance, un simple document officiel attestant de leur héritage suisse, sans la citoyenneté proprement dite, ne suffirait-il pas ?
En attendant, il est très difficile d'obtenir la citoyenneté pour les étrangers qui ont vécu pendant des années en Suisse, qui ont travaillé, se sont engagés dans la société et la politique et ont payé des impôts en bonne et due forme. De mon point de vue, c'est cela qu'il faut faciliter, et non les revendications plutôt vagues d'un lointain descendant d'immigré suisse.
Donc, s'il y a un vote, je voterais probablement contre, mais je suis ouvert à vos opinions...

I've read the article and some comments, here's my take:
I'm born and raised swiss, have lived always in switzerland, all of my ancestors that I know of even come from the same canton. Now in the article, they put forward that despite only being some precentile swiss there identity with switzerland is such that a denial of their nationality is injust because it deprives them to their connection with their homeland. I must say that I find quite bizarre as I don't feel the same way about switzerland as they do. Of course, there are tradition, the language etc that bond swiss people but the notion of feeling swiss is after all quite absurd, frankly. If i were to go to the street and ask random people chances are that I'd get so many different answers that to distill a swiss sentiment would be to say nothing at all.
Also, they say that the age limit to claim the nationality is arbitrary but in the same breathe they propose that up to the 5th generation citizenship should be given more easily. But isn't this the real arbitrariness, to say up to some arbitrary generation nationality should be handed to?
Furthermore, I think that citizenship is not really about identity anyway. It's a legal document that comes with privileges but in my opinion also responsabilities. If the petition only sought recognition, wouldn't a simple, official document stating their swiss heritage without the actual citizenship suffice?
Meanwhile, it is very difficult to gain citizenship for foreigners that have lived for years in switzerland, that have worked, engaged in the society and politics and paid taxes duely. In my pov, this should be facilitated, not the rather vague claims of some far off offspring of a swiss immigrant.
So if there will be a votation, probably I'd vote against it, but I'm open to your opinions...

Ana Ubelarte
Ana Ubelarte
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Je suis née en Argentine, où mes arrière-grands-parents suisses se sont installés à la fin des années 1870 :
Mon arrière-grand-père Niklaus Uebelhart, né dans le canton de Soleure, et mon arrière-grand-mère Katerina Baettig, née dans le canton de Lucerne.

À leur naissance, leurs enfants n'ont pas été inscrits dans les registres suisses, peut-être par manque d'informations, en raison des conditions de vie difficiles des immigrés ou de l'impossibilité de parcourir les longues distances qui les séparaient des centres de population en Argentine. Pour cette raison, l'un de ses fils, Ludovico (mon grand-père), a perdu sa nationalité suisse et, plus tard, à la naissance de mon père (Pedro), la situation s'est répétée parce qu'il ne disposait pas des informations nécessaires ou des conditions optimales pour le transfert.

Malgré ces circonstances défavorables, ma famille a toujours conservé les traditions de ses ancêtres et la fierté d'être suisse... Mon père (Pedro), ingénieur en mécanique, comme mon grand-père Ludovico, était un professionnel talentueux et a travaillé pendant des années dans la conception et la fabrication de machines spécifiques pour la production de produits laitiers chez NESTLE, une usine suisse située dans le sud de la province de Santa Fe...

Notre famille, enracinée dans le caractère suisse et les valeurs de discipline et de travail, correspond à être reconnue comme suisse par les liens du sang définis. Mon père, aujourd'hui décédé, a toujours vécu avec fierté et amour pour sa patrie, la Suisse, et nous a inculqué le respect des coutumes culturelles. Bien que je sois basée au Canada depuis de nombreuses années, j'ai voyagé et vécu en Suisse pendant certaines périodes, et j'ai le sentiment d'être au bon endroit et dans la bonne culture lorsque j'y suis...

Je soutiens de tout cœur l'initiative ou la demande visant à ce que les Suisses légitimes (par le droit du sang) soient reconnus comme tels. Je ne suis pas motivé par des intérêts économiques ou des avantages à tirer ; je veux simplement que soit reconnue la nationalité qui me revient de droit.

Cordialement aux participants de ce groupe, continuons le dialogue !

Ana Uebelhart
Canada

Yo nací en Argentina, donde mis bisabuelos suizos se radicaron a fines del 1870:
Mi bisabuelo: Niklaus Uebelhart, nacido en el cantón de Solothurn, y mi bisabuela: Katerina Baettig, nacida en el cantón de Lucerna.

Al nacer, sus hijos no los anotaron en los registros suizos, tal vez debido a falta de información al respecto, las dificiles condiciones de vida como inmigrantes o a la imposibilidad de recorrer en Argentina las grandes distancias a los centros poblados. Por esa razón, uno de sus hijos: Ludovico (mi abuelo) perdió la ciudadanía suiza, y luego, al nacer mi padre (Pedro), se repitió la situación al no disponer de la información necesaria ni de las condiciones óptimas para el traslado.

A pesar de estas circunstancias desfavorables, mi familia siempre conservó las tradiciones de sus ancestros y el orgullo de ser suizos... Mi padre (Pedro), ingeniero mecánico, tal como fuera mi abuelo Ludovico, se destacó como un talentoso profesional y trabajó durante años en el diseño y fabricación de maquinarias específicas para la elaboración de productos lácteos en NESTLE, fábrica suiza enclavada al sur de la provincia de Santa Fe...

Nuestra familia, enraizada en el carácter y valores de disciplina y trabajo suizos, corresponde a ser reconocida como suiza por los definidos lazos sanguíneos. Mi padre, ya fallecido, siempre vivió con orgullo y amor por su patria de origen: Suiza y nos inculcó el respeto por las costumbres culturales. Aunque estoy radicada en Canadá desde hace muchos años, he viajado y vivido temporadas en Suiza, y me siento en el lugar y la cultura correcta cuando estoy allí...

Apoyo de corazón la iniciativa o reclamo para que los suizos legítimos (por derecho de sangre) sean reconocidos como tales. No estoy guiada por intereses económicos o beneficios a obtener; simplemente quiero tener el reconocimiento de la nacionalidad que legítimamente me corresponde.

Un saludo afectuoso a los participantes de este grupo, a continuar el dialogo!

Ana Uebelhart
Canada

FpTheler
FpTheler
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Je suis né en 1964 et mon père Carlos Theler ne m'a jamais enregistré à l'ambassade de Suisse.
Lorsque j'ai voulu faire des démarches, il était trop tard selon la loi.

Nací en el año 1964 y mi padre Carlos Theler nunca me anoto en la Embajada Suiza.
Cuando quise hacer algún trámite ya fue tarde según las leyes.

farielgood@hotmail.com
farielgood@hotmail.com
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Bonjour, je m'appelle Federico Good Manzanel, mon cas concernant la citoyenneté est que j'ai pu l'obtenir parce que mon père est citoyen ainsi que mes grands-parents, par manque d'information mon père n'a pas effectué les démarches correspondantes pour que mon frère et moi puissions continuer à avoir nos liens. J'ai commencé en 2010 à chercher des informations pour l'obtenir, j'ai contacté le consulat de la province de Cordoue dans laquelle je vis et je me suis rendu à l'ambassade même, ils m'ont donné une série d'exigences qui sont très compliquées à remplir c'est pourquoi nous faisons appel à la bonne volonté des parlementaires suisses pour que la loi votée en 2018 change et que tous les résidents suisses puissent accéder à la citoyenneté.
Mon grand-père a voyagé avec ses parents le 13 avril 1937, ils venaient du canton de Mels, il a voyagé avec ses frères et sœurs et sa mère en Argentine, ils se sont installés à Baradero, province de Buenos Aires, quand il est devenu majeur sa résidence et celle de plusieurs de ses frères et sœurs était Cordoba. J'espère que vous pouvez lire mon commentaire, mon père a maintenant presque 74 ans et il ne peut pas faire grand-chose pour aider ses enfants et petits-enfants à obtenir ce qui est si sacré pour nous. En fait, j'ai le document de la date à laquelle mon grand-père et sa famille ont quitté la Suisse, il est dommage que je ne puisse pas le partager avec vous. Merci beaucoup, salutations !

Buenas tardes, mi nombre es Federico Good Manzanel, mi caso con respecto a la ciudadanía es que lo pude obtener siendo que mi padre es ciudadano al igual que mis abuelos, por falta de información mi padre no realizó los trámites correspondientes para que sigamos teniendo nuestros lazos a mi hermano y a mi. Comencé en el 2010 en busca de información para obtenerla, me comuniqué con el consulado en Córdoba provincia en la cual resido y viaje hasta la propia embajada, me dieron una serie de requisitos que son muy complicados en cumplir es por eso que apelamos a la buena voluntad de los parlamentarios Suizos para que la ley sancionada en 2018 cambie y todos los Suizos residentes podamos acceder a la ciudadanía.
Mi abuelo viajó junto a sus padres el 13 abril de 1937 ellos provenían del Kanton de Mels, él junto a sus hermanos y su madre viajaron a Argentina, se asentaron en Baradero, Provincia de Buenos Aires, cuando fue mayor de edad su residencia y la de varios de sus hermanos fue Córdoba. Ojalá puedan leer mi comentario, mi padre hoy con casi 74 años ya mucho no puede hacer para ayudar a sus hijos y nietos a obtener esto tan sagrado para nosotros. Es más tengo el documento de cuando mi abuelo junto a su familia salen de Suiza, lástima que no lo pueda compartir con ustedes. Muchas gracias, saludos!!

Pablo Rudolf
Pablo Rudolf
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Mes arrière-arrière-grands-parents de la lignée Paterna ont émigré de Suisse en Argentine dans les années 1850. Ils venaient des cantons d'Argovie et du Valais. De mon arrière-grand-père à moi, il n'était pas possible de retrouver la nationalité suisse. Selon le principe constitutionnel IUS SANGUINIS, il a été considéré que l'accès à la nationalité suisse devait être accepté, à l'instar de la législation italienne actuelle, par exemple.

Mis tatarabuelos línea Paterna emigraron de Suiza a Argentina en la década de 1850. Provenían de los cantones de Aargau y el Valais. Desde mi visabuelo hasta mi persona no se pudo recuperar la nacionalidad suiza. Conforme el principio constitucional IUS SANGUINIS consideró que se debe aceptar acceder a la nacionalidad Suiza, a similitud de la legislación italiana vigente, por ejemplo.

Alba
Alba
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Mon arrière-arrière-grand-père est arrivé en Uruguay en tant que fondateur d'une colonie suisse. Dans le département de Colonia.
A leur arrivée, ils ont découvert que l'entreprise qui leur avait vendu les terres pour la ferme et la ville dont on leur avait dit qu'elles existaient, était une escroquerie. Par contre, ils ont trouvé une terre vierge, sans nafa, et ont subi les attaques et les vols des voleurs de bétail qui se trouvaient dans la région.
C'était en 1862.
Face à cette situation, luthériens et catholiques s'organisent et construisent ensemble une chapelle, qui sert également d'école, d'hôpital, etc.
Les terres ont donc été divisées en parcelles et chaque famille a construit sa propre maison.
Ils n'avaient pas assez d'outils et devaient se protéger des voleurs, mais petit à petit, grâce au fait que certains colons avaient des fusils et savaient tirer, ils ont réussi à chasser les voleurs.
Dans ces conditions, ils ont passé des années à former le village pour couvrir les besoins sans avoir de communication avec la capitale, Montevideo, pour pouvoir enregistrer ceux qui étaient nés dans le processus.
C'est pour cette raison que je n'ai pas la nationalité suisse.
Parce que mon arrière-grand-père n'a pas pu être enregistré à l'ambassade suisse.

Mi tatarabuelo vino como fundador de una colonia de suizos al Uruguay. En el departame de Colonia.
Al llegar se encontraron qie la empresa que les habia vendido la parceña para zu granja y la ciudad que le xiberon existia, era una eztafa. Por el contrario se encontraron con un tetreno virgen sin nafa e puesto al ataque y robo de los cuatreros que hanitaban la zona.
Esto fue en el año 1862.
Ante esta situacion, se organizaron y luteranos y catolicos unidos constryeron una cspilla, que oficiaba tambien como escuela, hospital, etv.
Aso de a pico se fistribuyeton las tietras y cada familia fue construyendo su casa.
Para todo no contaban con hetramientas suficiebtes y debian resguardarse de los staques,pero de a poco y gracias a que varios de los colonos tenian armas y buena punteria, lograron ahuyentar a los cuatreros.
En esas condiciones pasaron años formando el pueblo para cubrir las necezidaxes sin contar con una comunicacion con la capital,Montevideo, para poder inscribir a los que fueron naciendo en el procedo.
Por esa razon no vuento con la ciudadania suiza.
Porque ya mi bisabuelo no pudo ser anotado ante la embajada Suiza.

Stirnemann
Stirnemann
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Je suis un descendant de Suisse, ma famille est venue en Argentine en 1836, pour améliorer ses conditions de vie car à cette époque en Suisse les conditions économiques étaient très mauvaises, mon arrière-arrière-grand-père avec ses 4 petits enfants et veuf a dû chercher à survivre pour sa famille et c'est ainsi qu'il a créé une grande famille.
Il a créé une grande famille
Argentine, quand je vais à l'ambassade pour demander la possibilité d'obtenir la citoyenneté, ils me disent que je ne peux pas accéder, en bref, parce que je suis une femme, même aujourd'hui après plusieurs années passées je ne peux pas le comprendre, une fois j'étais en Suisse, dans une ville appelée albinen où ma grand-mère est originaire, J'étais à l'hôtel et on m'a demandé ma nationalité et j'ai dit Argentine, ce à quoi on m'a répondu non, ma nationalité est la Suisse parce que dans ce pays elle est considérée par le sang et non par la naissance géographique.
Je ne comprends pas cette façon de penser, ambiguë et quelque peu discriminatoire, merci beaucoup de m'avoir permis de m'exprimer.

Soy descendiente de suizos, mi familia vino a la Argentina en 1836, para mejorar sus condiciones de vida ya que en aquel momento en Suiza las condiciones económicas eran muy malas, mi tatarabuelo con sus4 hijos pequeños y viudo debió buscar la supervivencia de su famila y así es como
Generó una gran familia
Argentina, cuando voy a la embajada a solicitar la posibilidad de que se me otorgue la ciudadanía me dicen que no puedo acceder, resumiendo, por ser mujer, aún hoy después de varios años que han pasado no lo puedo comprender, una vez estando en Suiza, en un pueblo llamado albinen de donde desciende mi abuela, estando en el hotel me piden mi nacionalidad y digo Argentina, a lo cual me dicen que no, Ud mi nacionalidad es Suiza porque en ese país se considera por sangre y no por nacimiento geográfico , ahora digo las mujeres tenemos los hijos y por lo tanto transmitimos la sangre pero se nos niega el
Derecho de acceder a la ciudadanía que por sangre nos corresponde, no logro comprender la forma de pensar, ambigua y un tanto discriminativa, muchas gracias por permitirme expresarme

RodoSwissinfo
RodoSwissinfo
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Mon grand-père est né en 1903 à San Jerónimo Sud, province de Santa Fé, Argentine. Il était le fils de parents suisses immigrés. Lorsqu'il s'est installé dans la ville de Cordoba, il a présenté des documents pour obtenir la nationalité helvétique, mais le consul de l'époque n'a pas accédé à sa demande malgré son insistance. Par conséquent, puisqu'il ne l'a pas obtenue, nous, ses descendants, l'avons également perdue.

Mi abuelo nació en 1903, San Jerónimo Sud, provincia de Santa Fé, Argentina. Hijo de padres Suizos que vinieron como inmigrantes. Al mudarse a la ciudad de Córdoba presentó documentación para la tramitación de su Nacionalidad Helvética pero el cónsul de aquel entonces no le dió curso a su pedido a pesar de su insistencia. Por ende al no obtenerlo él también lo perdimos los descendientes

AliGü
AliGü
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Ma mère a grandi en Suisse et a dû acheter sa nationalité à l'âge de 18 ans ! Lorsqu'elle a épousé mon père à New York, elle a choisi de ne pas accepter la nationalité américaine parce qu'elle ne voulait pas perdre sa nationalité suisse. Dans les années 1970, lorsque les femmes suisses ont eu le droit de transmettre la citoyenneté à leurs enfants, je l'ai reçue. Depuis les années 1990, je vis à l'intérieur de la Suisse.
La politique a toujours été importante pour moi, et je pense donc que la politique suisse devrait accorder plus d'attention à leurs descendants étrangers... non seulement ils pourraient contribuer au soutien de l'AVS/AI... mais les connecter aux principes du droit suisse ainsi qu'aux structures de gouvernance suisses... pourrait rendre le monde plus démocratique... favoriser le commerce extérieur... exporter les valeurs suisses... sans encourir d'énormes coûts financiers....

La Suisse fait tellement de commerce avec la Chine ! Pourquoi ne pas suivre leur exemple ? Et construire des partenaires commerciaux en cultivant les valeurs suisses avec les descendants de cette incroyable, diplomatique...culture du conflit... ?

La ténacité et l'ingéniosité suisses sont nées d'une histoire rude et tumultueuse. Les Suisses ont une vision que beaucoup d'autres cultures n'ont pas. Pourquoi ne pas investir davantage dans l'éducation à l'étranger de ces personnes ?

My mother grew up in Switzerland and had to purchase her citizenship when she turned 18! When she married my father in NYC, she chose not to accept US citizenship because she did not want to lose her swiss. In the 1970's when swiss women were given the right to convey cituzenship to her children..then I received it.Since the 1990's I do live inside Switzerland.
Politics have always been important for me, and so I think Swiss policy ought to pay more attention to their foreign descendants..not only could they contribute to AHV/IV support..but connecting them to the principles of swiss law as well as swiss governance structures..could make the world a more democratic place..benefit foreign trade..export swiss values..without incurring huge financial costs..

Switzerland does so much trade with China!! Why not sort of follow their example?? And build trading partners by grooming swiss values with descendants of this incredible, diplomatic...Conflict-Culture??

Swiss tenacity, swiss ingenuity,..arose out of a rough and tumultuous history..swiss have insight that many other cultures lack..why not invest more in overseas education of these??

Asperger
Asperger

On est suisse par le sang, leur pays va mal et tout à coup ils se sentent suisses ? Quelle blague. Vivre 50 ans et ne se souvenir de ses racines qu’une fois les problèmes arrivés c’est un peu fort.

Eduardo
Eduardo
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@Asperger

Asperger :
Vous dites qu'apreÁs 50 ans, nous nous sentons soudainement suisses parce que les pays dans lesquels nous vivons ont des probleÁmes, et c'est un peu fort.
J'ai la citoyennete suisse par ªIus Sanguinis", ce qui est mon droit en vertu de la loi suisse.
Vous mentionnez "Après 50 ans, etc. Pour vous détromper, je vous informe que mon combat contre les restrictions absurdes à l'accès à la nationalité a duré bien plus de 50 ans et que finalement, comme j'ai toujours eu raison, mon statut de citoyen suisse a été reconnu.
Pourquoi parlez-vous si légèrement de choses que vous ne connaissez pas ?
Et vous le faites avec l'attitude de quelqu'un qui semble connaître les vraies circonstances !
Eduardo Puibusqué

Asperger:
Tu dices que, después de 50 años, repentinamente, nos sentimos suizos porque ahora los países donde residimos tienen problemas y que eso es un poco rico.
Yo tengo la ciudadanía suiza por ªIus Sanguinis" que es lo que me corresponde según la misma legislación de Suiza.
Tu mencionas "Después de 50 años etc." Para desasnarte te informo que mi lucha contra las absurdas restricciones que había para acceder a la nacionalidad, duró bastante más de 50 años y finalmente, ya que siempre tuve razón, mi condición de ciudadano suizo fue reconocida.
¿Porque hablas tan livianamente de cosas que no conoces?
¡Y además lo haces desde una actitud de alguien que pareciera saber las verdaderas circunstancias!
Eduardo Puibusqué

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