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Quels facteurs prendre en compte pour transmettre la nationalité suisse à l’étranger?

Modéré par: Melanie Eichenberger

La nationalité suisse peut aussi être transmise de génération en génération à l’étranger. La condition préalable est une annonce auprès de la représentation suisse du pays ou l’inscription dans le registre d’état civil suisse jusqu’à l’âge de 25 ans.

Devrait-il y avoir une limite à la transmission de la nationalité suisse? Par exemple en rendant la nationalité non transmissible après un certain nombre de générations ou une certaine durée de séjour à l’étranger?

Ou alors la pratique actuelle est-elle trop stricte et la déclaration devrait-elle être possible même après l’âge de 25 ans?

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PennsylvaniaSwiss
PennsylvaniaSwiss
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Je comprends la volonté du gouvernement suisse de limiter les avantages de la citoyenneté aux personnes qui vivent dans le pays ou qui contribuent (ou ont contribué) aux impôts. Je comprends également la volonté de limiter les passeports de complaisance. Cependant, je pense qu'il devrait y avoir un statut intermédiaire pour les enfants ou les petits-enfants de citoyens suisses, leur permettant (sur justification raisonnable de la lignée) d'obtenir automatiquement des droits de résidence et de travail en Suisse et une voie accélérée vers la naturalisation en tant que citoyen suisse - peut-être en moins d'un an. En tant que petit-enfant de grands-parents maternels qui étaient tous deux suisses, qui ont enseigné le suisse à leurs quatre filles et qui ont perpétué de nombreuses traditions et liens avec la Suisse, je suis bien connu pour m'identifier principalement/grandement à mon héritage suisse et je représente le type de résident et de citoyen que la Suisse ferait bien d'attirer - à une époque où la suissitude est de plus en plus difficile à maintenir dans la Suisse elle-même.

I understand the Swiss government’s desire to limit the benefits of citizenship to those who live in or contribute (or have contributed) taxes. I can also see wanting to limit passports of convenience. However, I think there should be middle ground status for the children or grandchildren of Swiss citizens, allowing them (upon reasonable substantiation of lineage) automatic Swiss residency/work rights and an expedited pathway to naturalized Swiss citizenship - perhaps in less than one year. As the grandchild of maternal grandparents who were both Swiss, taught their four daughters Schweizerdeutsch and carried forward many Swiss traditions and connections with Switzerland, I am well known for identifying primarily/greatly with my Swiss heritage and represent the type of resident and citizen Switzerland would do well to attract - in an era where Swissness is becoming more difficult to maintain in die Schweiz itself.

MLavanchy
MLavanchy
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Mon père a perdu sa nationalité suisse parce que son père suisse est décédé juste après sa naissance et que personne n'a enregistré sa naissance. Malheureusement, lorsqu'il s'est présenté au consulat suisse au Chili, il était trop tard, à l'âge de 28 ans. En tant que médecin diplômé, il est venu au Royaume-Uni et a finalement obtenu la nationalité britannique. Je me sens proche de la Suisse, en particulier du village vaudois d'où ma famille est originaire. J'éprouve un sentiment de perte, que je ne peux pas vraiment décrire. J'ai visité les archives de la maison de mes ancêtres et j'ai vu un grand nombre de documents écrits par des membres de ma famille. Je ressens un lien énorme avec cet endroit. Je n'ai pas besoin de puiser dans quoi que ce soit d'autre qu'un sentiment d'appartenance. Mon nom de famille est super vaudois et super protestant. Je me sens exclue de quelque chose dont je me sens en même temps partie prenante. Mon fils étudie actuellement en Suisse et il ne peut pas en faire partie non plus ! D'autres pays l'autorisent si vos grands-parents étaient nationaux.

My father lost his Swiss citizenship because his Swiss father died just after he was born and no one registered his birth. Sadly, by the time he presented himself at the Swiss consulate in Chile he was too late, at age 28. As a qualified doctor he came to the UK and eventually gained UK citizenship. I feel close to Switzerland, particularly to the village in Vaud where my family originated from. I feel a sense of loss, I cannot really describe it. I have visited the archives in my ancestors home and seen large numbers of documents written by members of my family. I feel a huge connection with the place. I have no need to tap into anything apart from a sense of belonging. My surname is super Vaudois and super protestant. I feel locked out of something that I simultaneously feel part of. My son is currently studying in Switzerland and he cannot be part of it either!Other countries allow it if your grandparent was a national.

treerap@sprintmail.com
treerap@sprintmail.com
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La plupart des pays accordent de l'importance à leurs citoyens et ne font pas en sorte qu'il soit si difficile de conserver cette citoyenneté. La Suisse veut être présente dans le monde entier, mais si ses citoyens vivent à l'étranger, le gouvernement semble vouloir les punir.
Cela me rappelle ce qu'ils ont fait avec l'AVS et comment le gouvernement a discriminé les Suisses qui travaillaient à l'étranger en ne les informant pas qu'ils pouvaient obtenir un crédit pour chaque année travaillée dans un pays étranger en versant 125 CHF sur leur compte AVS. C'est pourquoi tant de retraités suisses ont ces fameux trous.
Les citoyens ne sont pas des ennemis. Ils sont ce qui fait de la culture et du patrimoine d'un pays quelque chose à célébrer, quel que soit l'endroit où l'on vit.

Most countries value their citizens and do not make it so difficult to retain that citizenship. Switzerland wants to have a global presence but if its citizens live outside Switzerland, the government seems to want tp punish those citizens.
It reminds me of what they did with AHV and how the government discriminated against Swiss who were working abroad by not informing them that they could get credit for every year they worked in a foreign country by paying CHF125 into their AHV account. That's why so many Swiss retirees have those notorious holes.
Your citizens are not your enemy. They are what makes a country's culture and heritage something to celebrate no matter where you live.

Ambch
Ambch
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Je pense que la citoyenneté représente un engagement sérieux et qu'une nation sérieuse accorde sa citoyenneté à ceux qui croient en ses valeurs et ses principes. Ces dernières années, si l'on prend l'exemple de l'Italie, on assiste, surtout en Amérique du Sud, à une ruée vers le passeport européen, un passeport qui permet de voyager dans le monde entier sans trop de formalités administratives et de visas. Souvent, les descendants d'Européens ne savent même pas où se trouve le pays d'origine de leurs ancêtres, l'ayant ignoré pendant des décennies. Rien que cela peut nous faire comprendre ce que peuvent ressentir les Suisses, les Italiens ou toute autre nation européenne. J'espère que la Suisse fera preuve de clairvoyance et continuera à accorder la citoyenneté à ceux qui ont réellement un contact avec la Suisse et partagent ses principes. La citoyenneté est une affaire sérieuse et ne peut être changée comme une robe que l'on porte au gré des circonstances

Credo che una cittadinanza rappresenti un impegno serio e una nazione seria concede la sua cittadinanza a chi crede nei suoi valori e principi. Negli ultimi anni, basta vedere l'esempio italiano, soprattutto dal sud america c'è la rincorsa al passaporto europeo, un passaporto che permette di girare il mondo senza troppa burocrazia e visti. Spesso i discendenti di europei nemmeno sanno dove si trova la nazione d'origine dei loro avi essendosi disinteressati per decenni. Già questo può fare capire come possano sentirsi svizzeri, o italiani o di qualunque altra nazione europea. Mi auguro che la svizzera sia lungimirante e continui a concedere la cittadinanza a chi realmente ha contatti con la svizzera condividendone i principi. La cittadinanza è cosa seria e non si cambia come un abito da indossare a seconda delle circostanze

manoelsan@yahoo.com
manoelsan@yahoo.com
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@Ambch

Suggérez-vous que les citoyens suisses ne devraient posséder que la nationalité suisse, à l'exclusion de toute autre nationalité ? Personnellement, je ne pense pas que l'on puisse être entièrement loyal envers plus d'un pays à la fois. Dans le monde globalisé d'aujourd'hui, les gens ont plusieurs nationalités en vertu du droit du sang, et je ne vois rien de mal à cela.

Presque tous les pays autorisent la revendication de la nationalité jusqu'à la troisième génération (petits-enfants), quel que soit l'âge du demandeur. En limitant l'âge à 25 ans, la Suisse est déjà extrêmement restrictive.

Bien que la Suisse n'ait pas de problème de population à l'heure actuelle, elle pourrait en avoir un à l'avenir.

Vous citez le cas de l'Italie. La raison pour laquelle l'Italie (ainsi que d'autres pays d'Europe tels que l'Espagne et le Portugal) a maintenu des programmes spéciaux de parcours pour récupérer la nationalité fondée sur le ius sanguinis est que ces pays, premièrement, étaient ou sont confrontés à un problème de population, et deuxièmement, ont vu un flux massif de ressortissants s'échapper vers le continent américain à la recherche de meilleures opportunités en période de crise ou de guerre européenne. Ce n'est pas du tout le cas de la Suisse. On ne peut donc pas comparer le cas italien au cas suisse.

Je pense également que votre hypothèse selon laquelle la citoyenneté italienne est accordée de manière trop lâche est en partie fausse. Tout d'abord, elle est accordée sur la base du principe de la lignée sanguine. Deuxièmement, beaucoup d'Argentins, de Brésiliens, etc. qui acquièrent la citoyenneté italienne se sentent identifiés à la culture italienne malgré la distance géographique et le temps qui passe. Si vous allez un jour à Buenos Aires, vous verrez comment la culture et les traditions italiennes continuent d'influencer une partie de l'identité argentine.

Are you suggesting Swiss citizens should only hold Swiss citizenship to the exclusion of all other nationalities? I personally don’t think one can be entirely loyal to more than one country at once. In today’s globalized world, people hold multiple nationalities by virtue of ius sanguinis, and I personally don’t see anything wrong with that.

Almost all countries allow for the claiming of nationality up to the third generation (grandchildren) irrespective of petitioner’s age. By limiting the age to 25 years old, Switzerland is already extremely restrictive.

While Switzerland does not currently have a population problem, it could potentially have one in the future.

You indicate the case of Italy. The reason why Italy (as well as other countries in Europe such as Spain and Portugal) have maintained special programs of paths to reclaim ius sanguinis-based nationality is because those countries, first, were or are facing a population problem, and second, saw a massive outflow of nationals escaped to the American continent to seek for better opportunities in times of European crisis or war. This is hardly the case of Switzerland. So you cannot compare the Italian case to the Swiss case.

I also think that your assumption that Italian citizenship is granted too loosely is partly false. First, it is granted based on the principle of blood line. Second, a lot of the Argentinians, Brazilians, etc. who acquire Italian citizenship do feel identified with Italian culture despite the geographical distance and despite the passing of time. If you ever go to Buenos Aires, you will see how Italian culture and traditions continue to influence some of the Argentinian identity.

Dutchair
Dutchair
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Plusieurs facteurs doivent être pris en compte lors de l'héritage de la nationalité suisse à l'étranger. Voici les plus importants :
1. principe de filiation (ius sanguinis)
- La nationalité suisse est en principe transmise par filiation (ius sanguinis) et non par le lieu de naissance (ius soli).
- Un enfant obtient la nationalité suisse si au moins l'un de ses parents est suisse au moment de sa naissance.
2. perte de la nationalité après la troisième génération à l'étranger
- Toute personne née à l'étranger et y vivant déjà depuis trois générations perd automatiquement la nationalité suisse à l'âge de 25 ans si elle ne dépose pas à temps une déclaration de maintien de la nationalité.
- Cette réglementation vise à empêcher que des personnes sans lien avec la Suisse continuent à être formellement citoyennes.
3) Nationalité multiple
- La Suisse autorise les nationalités multiples.
- Toutefois, cela peut poser problème dans certains pays s'ils ne reconnaissent pas la double nationalité.
4) Enregistrement et déclaration de maintien
- Les citoyens suisses à l'étranger devraient faire enregistrer leurs enfants le plus tôt possible auprès de la représentation suisse compétente.
- Afin d'éviter la perte de la nationalité à la troisième génération, une déclaration de maintien doit être faite avant l'âge de 25 ans.
5. influence du mariage
- Auparavant, le mariage avec un ressortissant étranger entraînait parfois la perte de la nationalité suisse, mais ces règles ont été affaiblies.
- Le mariage seul ne suffit pas à transférer la nationalité ; celle-ci reste liée en premier lieu à la filiation.

Concernant la question posée - voici la réponse : s'il existe un lien avec la Suisse, il convient d'accorder la nationalité suisse. La filiation suisse devrait être prouvée. Condition : entrée en Suisse, séjour en Suisse d'au moins un an. Premier domicile, centre de vie. Puis réattribution de la nationalité suisse au bout d'un an. Maîtriser une langue nationale.

Bei der Vererbung des Schweizer Bürgerrechts im Ausland sind mehrere Faktoren zu berücksichtigen. Hier sind die wichtigsten:
1. Abstammungsprinzip (ius sanguinis)
• Das Schweizer Bürgerrecht wird grundsätzlich durch Abstammung (ius sanguinis) vererbt, nicht durch Geburtsort (ius soli).
• Ein Kind erhält das Schweizer Bürgerrecht, wenn mindestens ein Elternteil zum Zeitpunkt der Geburt Schweizer Bürger ist.
2. Verlust des Bürgerrechts nach der dritten Generation im Ausland
• Wer im Ausland geboren wird und bereits in der dritten Generation dort lebt, verliert das Schweizer Bürgerrecht automatisch mit 25 Jahren, wenn er oder sie nicht rechtzeitig eine Beibehaltungserklärung abgibt.
• Diese Regelung soll verhindern, dass Personen ohne Bezug zur Schweiz weiterhin formell Bürger bleiben.
3. Mehrfache Staatsangehörigkeit
• Die Schweiz erlaubt Mehrfachstaatsangehörigkeit.
• In manchen Ländern kann dies jedoch problematisch sein, falls sie eine doppelte Staatsbürgerschaft nicht anerkennen.
4. Registrierung und Beibehaltungserklärung
• Schweizer Bürger im Ausland sollten ihre Kinder möglichst früh bei der zuständigen Schweizer Vertretung registrieren lassen.
• Um den Verlust des Bürgerrechts in der dritten Generation zu vermeiden, muss eine Beibehaltungserklärung vor dem 25. Lebensjahr abgegeben werden.
5. Einfluss der Eheschliessung
• Früher führte die Heirat mit einem ausländischen Staatsbürger manchmal zum Verlust des Schweizer Bürgerrechts, doch diese Regelungen wurden abgeschwächt.
• Heirat allein reicht nicht aus, um das Bürgerrecht zu übertragen; es bleibt primär an die Abstammung gebunden.

Zur Fragestellung – hier die Antwort: Wenn eine Verbindung zur Schweiz besteht, sollte man das Schweizer Bürgerrecht erteilen. Die Schweizer Abstammung sollte nachgewiesen werden. Voraussetzung: Einreise in die Schweiz, Aufenthalt in der Schweiz von mindestens einem Jahr. Erster Wohnsitz, Lebensmittelpunkt. Dann Wiedererteilung des Schweizer Bürgerrechts nach Ablauf von einem Jahr. Beherrschen einer Landessprache.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger SWI SWISSINFO.CH
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@Dutchair

Nous vous remercions pour votre liste et pour votre proposition concernant les conditions à remplir.

Vielen Dank für Ihre Auflistung und für Ihren Vorschlag, welche Voraussetzungen gelten sollten.

Rissa
Rissa
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@Dutchair

J'aimerais avoir la chance de devenir citoyen suisse, car mes racines sont là et je me sens chez moi. Mais je suis un peu plus éloigné que trois générations. Je fais partie des 4e et 5e générations. Y a-t-il un espoir pour moi ? Je suis également citoyen américain. Je ne peux pas vous dire à quel point mon désir de revenir en Suisse est grand. Mes grands-parents parlaient le suisse et l'ont gardé vivant au fil des ans. Mon grand-père jodlait, faisait marcher son coucou et coupait du bois. Ma grand-mère préparait des tartes à la rhubarbe et des nouilles frites.

I would like to have the chance to become a Swiss citizen, as my roots are there and it feels like home. But I am a little further removed than 3 generations. I’m the 4th and 5th generations. Is there any hope for me? I’m also a U.S. citizen. I can’t tell you how great my desire is to come back to Switzerland. My grandparents spoke Swiss and kept it alive through the years. My grandpa yodeled and kept his cuckoo clock going and chopped wood. My grandma baked rhubarb custard pies and fried noodles.

OCRAM
OCRAM
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Les Suisses de l'étranger est l'éternelle rengaine de la gauche suisse : je ne sais pas combien d'autres pays dans le monde cultivent un problème similaire avec autant de persistance. On ne peut pas s'attendre à ce que la "Suissitude" à l'étranger se transmette indéfiniment de génération en génération : cela me semble absurde. Lorsque l'on vit à l'étranger, on assume aussi la responsabilité du choix que l'on a fait ! C'est déjà bien de pouvoir jouir de la double nationalité, mais transmettre ce privilège à la génération suivante me semble à la fois spécieux et illogique. Il est évident que les partis de gauche en particulier poussent constamment dans cette direction, car ils partent du principe que les Suisses de l'étranger votent plus à gauche en raison de leur jeune âge. Personne ne peut ignorer que cette attitude, y compris le vote électronique, n'est qu'un prétexte et non un véritable problème.

Gli Svizzeri all'estero sono l'eterno tormentone della sinistra elvetica: non so quanti altri paesi al mondo coltivino un problema analogo con tanta insistenza. Non si può pretendere che la "svizzeritudine" all'estero passi di generazione in generazione sino all'infinito: ciò mi sembra solo assurdo. Quando si vive all'estero, ci si assume anche la responsabilità della scelta compiuta! E già bello che si possa godere della doppia nazionalità, ma tramandare tale privilegio anche alle generazioni successive, mi sembra solo pretestuoso e anche illogico. È ovvio che soprattutto i partiti di sinistra spingano di continuo in tale direzione, perché presumono che gli svizzeri all'estero votino più a sinistra causa la loro più giovane età. Non è chi non veda che tale attitudine, voto elettronico compreso, sia solo pretestuosa e non un problema effettivo.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger SWI SWISSINFO.CH
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@OCRAM

Merci beaucoup pour votre contribution.

Vielen Dank für Ihren Beitrag.

manoelsan@yahoo.com
manoelsan@yahoo.com
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@OCRAM

Vous n'avez probablement jamais vécu à l'étranger. C'est pourquoi vous pensez ainsi. Voyagez davantage et vivez à l'étranger au moins une fois dans votre vie. Vous vous rendrez compte que, même en vivant à l'étranger, il est possible de maintenir les traditions et l'identité suisses en vie, génération après génération.

You have probably never lived abroad. That’s why you think this way. Travel more and live abroad at least once in your lifetime. You will realize that despite living abroad, one can maintain Swiss traditions and identity alive generation after generation.

descendientesuizos
descendientesuizos
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Le problème avec la loi actuelle sur la nationalité (LN) est qu'elle n'est pas rétroactive. Cela porte atteinte aux droits des femmes qui ont perdu leur nationalité en se mariant avec un étranger. Beaucoup de ces femmes avaient des enfants qui n'ont pas pu récupérer leur nationalité suisse, car ils avaient dépassé les délais d'âge lorsque les mères ont enfin eu la possibilité de récupérer leur propre nationalité.

Le même problème concerne également ceux qui ont perdu leur nationalité en raison de difficultés techniques dans le pays du tiers-monde, notamment en raison de services postaux peu fiables et de méthodes de communication insuffisantes avec les ambassades suisses.

La limite d'âge pour retrouver la nationalité est totalement illogique et moralement discutable. Pourquoi un fils ou une fille de Suisse né à l'étranger est-il automatiquement suisse à 25 ans s'il s'enregistre auprès de l'ambassade - sans aucune autre exigence - alors qu'une personne âgée de 26 ans doit soudainement prouver qu'elle a effectué au moins trois voyages en Suisse en l'espace de six ans ?

Quel type de législation établit une telle différence entre deux personnes dont la seule différence est une seule année de vie ? C'est tout simplement absurde et inacceptable.

Das Problem mit dem aktuellen Bürgerrechtsgesetz (BüG) besteht darin, dass es nicht rückwirkend gilt. Dadurch werden die Rechte der Frauen verletzt, die ihre Staatsbürgerschaft durch die Heirat mit einem Ausländer verloren haben. Viele dieser Frauen hatten Kinder, die ihre Schweizer Staatsbürgerschaft nicht zurückerlangen konnten, da sie die Altersfristen überschritten hatten, als die Mütter endlich die Möglichkeit erhielten, ihre eigene Staatsbürgerschaft zurückzuerlangen.

Dasselbe Problem betrifft auch diejenigen, die ihre Staatsbürgerschaft aufgrund technischer Schwierigkeiten im Drittweltland verloren haben, insbesondere wegen unzuverlässiger Postdienste und unzureichender Kommunikationsmethoden mit den Schweizer Botschaften.

Die Altersgrenze für die Wiedererlangung der Staatsbürgerschaft ist völlig unlogisch und moralisch fragwürdig. Warum ist ein im Ausland geborener Sohn oder eine Tochter von Schweizern mit 25 Jahren automatisch Schweizer, wenn er oder sie sich bei der Botschaft registriert – ohne jegliche weitere Anforderungen –, während eine Person, die 26 Jahre alt ist, plötzlich mindestens drei Reisen in die Schweiz innerhalb von sechs Jahren nachweisen muss?

Welche Art von Gesetzgebung macht einen derartigen Unterschied zwischen zwei Personen aus, deren einziger Unterschied ein einziges Lebensjahr ist? Das ist schlichtweg absurd und inakzeptabel.

Smiss
Smiss
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Quelle question étrange. Comme les Américains qui prétendent être irlandais alors qu'ils n'ont jamais foulé le sol irlandais depuis des générations. Dans quelle mesure quelqu'un devrait-il être en mesure de profiter d'une société à laquelle il n'a pas contribué ? Si votre arrière-grand-père a quitté le pays X pour les États-Unis, ses enfants et tous ceux qui viendront ensuite ne sont pas originaires du pays X, ils sont américains. Il semble qu'en règle générale, il ne s'agisse pas de beaucoup plus que d'obtenir des avantages, et pas d'une quelconque fierté liée à l'héritage. Devons-nous croire que ces personnes aspirent à prendre le cor des Alpes en main ? Ou veulent-ils plutôt profiter des systèmes sociaux auxquels ils n'ont pas cotisé ? Que proposent-ils exactement à la Suisse et que prennent-ils en échange ? Collecter des passeports pour le plaisir ? Vont-ils déménager et élever des vaches dans les Alpes ? Super, maintenant ils sont citoyens... Parlent-ils une des langues suisses ou ont-ils une idée de ce qu'est la société suisse ? Combien ont pris la peine de visiter le pays au lieu de demander la citoyenneté sur demande ?

What an odd question. Like americans claiming that they're irish having never stepped on irish soil for generations. How far should one be able to benefit from a society that they didn't contribute to? If your great grand father left country X for the US, his children and anyone after that are not from country X, they are Americans. Seems the interest is usually not much more than gaining benefits versus any type of pride in heritage. Are we to believe these folks are pining to pick up the alphorn? Or more likely to use social systems they haven't paid into? What exactly is it that they offer to Switzerland and what is it that they will take? Collecting passports for the fun of it? Are they going to move and raise cows in the Alps? Great, you're a citizen now..do you speak any of the Swiss languages or have any clue what Swiss society is like? How many have bothered to even visit versus wanting citizenship on demand?

descendientesuizos
descendientesuizos
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@Smiss

Veuillez ne pas mettre dans le même sac tous les descendants de Suisses vivant à l'étranger, dans des pays autres que les ÉTATS-UNIS. Beaucoup d'entre nous ont contribué de manière significative à la Confédération suisse. Nous ne sommes absolument pas intéressés par les avantages financiers que l'État pourrait éventuellement offrir - notre combat porte sur notre identité.

Concernant votre argument selon lequel les enfants d'émigrés n'appartiennent automatiquement qu'au pays dans lequel ils sont nés : C'est tout simplement faux. Un tigre reste un tigre, même s'il est né dans une cage avec des chimpanzés. De la même manière, les Suisses nés à l'étranger restent des Suisses - ils aiment leur pays d'origine et continuent phénotypiquement à faire partie de la communauté nationale suisse.

Au sujet des voyages : Vous argumentez à partir d'une perspective américaine privilégiée. La majorité des descendants de Suisses dans des pays comme l'Argentine, le Paraguay et l'Uruguay parlent les dialectes de leurs cantons et vivent selon la culture suisse, mais ne peuvent pas se permettre les voyages de luxe que les personnes aisées peuvent s'offrir. Surtout pas en Suisse - le pays le plus cher au monde pour les voyages.

J'espère que cette réponse vous aura aidé à clarifier vos questions.

Bitte werfen Sie nicht alle Nachkommen von Schweizern im Ausland, die in Ländern ausserhalb der VEREINIGTEN STAATEN leben, in denselben Topf. Viele von uns haben in erheblichem Masse zur Schweizerischen Eidgenossenschaft beigetragen. Uns interessieren die finanziellen Vorteile, die der Staat möglicherweise bieten könnte, überhaupt nicht – unser Kampf geht um unsere Identität.

Zu Ihrem Argument, dass die Kinder von Auswanderern automatisch nur dem Land zugehören, in dem sie geboren wurden: Das ist schlichtweg falsch. Ein Tiger bleibt ein Tiger, auch wenn er in einem Käfig mit Schimpansen geboren wird. Genauso bleiben Schweizer, die im Ausland geboren werden, Schweizer – sie lieben ihr Heimatland und sind phänotypisch weiterhin Teil der schweizerischen Volksgemeinschaft.

Zum Thema Reisen: Sie argumentieren aus einer privilegierten US-amerikanischen Perspektive. Die Mehrheit der Nachkommen von Schweizern in Ländern wie Argentinien, Paraguay und Uruguay spricht die Dialekte ihrer Kantone und lebt nach schweizerischer Kultur, kann sich jedoch die Luxusreisen, die sich wohlhabende Menschen leisten können, nicht erlauben. Besonders nicht in die Schweiz – das teuerste Reiseland der Welt.

Ich hoffe, dass diese Antwort Ihnen bei der Klärung Ihrer Fragen geholfen hat.

manoelsan@yahoo.com
manoelsan@yahoo.com
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@Smiss

Suggérez-vous que seuls ceux qui vivent dans les Alpes et élèvent des vaches devraient avoir le droit d'être Suisses ? Je trouve cette proposition absurde.

Je me demande si vous élevez vous-même des vaches pour gagner votre vie.

Si la citoyenneté est transmise par la lignée, à mon avis, on devrait avoir le droit de revendiquer la nationalité suisse sans trop de restrictions. Je ne pense même pas que le fait de parler une langue suisse devrait être une condition pour pouvoir revendiquer un droit qu'une personne possède déjà en vertu de la lignée.

Pensez-vous qu'un ressortissant suisse de la quatrième génération vivant aux États-Unis voudra un jour retourner en Suisse (et profiter du système social suisse) ? Pour être honnête, j'en doute. Mais le fait est que cette personne est suisse par le sang, elle fait déjà partie du patrimoine suisse (qu'elle maintienne ou non les traditions suisses).

Are you suggesting that only those who live in the Alps and raise cows should have the right to be Swiss? I find this proposition preposterous.

I wonder you yourself raise cows for a living?

If citizenship is passed on through bloodline, in my view, one should have the right to claim Swiss nationality without much restriction. I don’t even think speaking a Swiss language should be a condition to be able to claim a right that by virtue of bloodline a person already has.

Do you think a Swiss national of fourth generation living in the US will ever want to return to Switzerland (and sponge from the Swiss social system)? To be honest, I doubt it. But the fact remains: that person is Swiss by blood, he/she is part of Swiss heritage already (whether he/she maintains Swiss traditions).

SwissMissUS
SwissMissUS
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Je suis né aux États-Unis en 1963 et j'ai hérité de la nationalité suisse de mon père, qui l'a héritée de ses deux parents nés en Suisse. Ma sœur et moi sommes enregistrés comme citoyens suisses depuis le milieu des années 1970, lorsque nous étions adolescents.

Quand j'avais 20 ans en 1983 - et à nouveau quand j'avais 21 ans en 1984 - j'ai écrit des lettres à l'ambassade suisse à Chicago pour confirmer ma double nationalité. La double nationalité est une grande chose, et je pense que l'exigence de s'enregistrer jusqu'à l'âge de 25 ans est juste, d'autant plus que l'Internet a rendu la communication tellement plus facile. Les parents et leurs enfants y accorderont une grande priorité si c'est important pour eux.

En ce qui concerne les frontières générationnelles, je répondrais par l'affirmative. Mes grands-parents sont nés là-bas il y a environ 125 ans et sont partis depuis longtemps. Je n'ai pas d'enfants, mais si j'en avais, je pense que ce lien serait relativement insignifiant pour eux.

I was born in the United States in 1963 and inherited my Swiss citizenship from my father, who inherited his cititzenship from both of his Swiss-born parents. My sister and I have been registered as Swiss citizens since the mid-1970s, when we were teenagers.

When I was 20 years old in 1983 -- and again when I was 21 in 1984 -- I wrote actual letters to the Swiss Embassy in Chicago to verify my dual citizenship. Dual citizenship is a big deal, and I believe the prerequisite to register by age 25 is fair, especially since the internet has made communication so much easier. Parents and their children will make it a priority if it's important to them.

As far as generational limits, I'd say Yes to that. My grandparents were born there about 125 years ago and have been gone for a long time now.. I don't have children, but if I did, I think the connection would be relatively meaningless to them.

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger SWI SWISSINFO.CH
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@SwissMissUS

Bonjour SwissMissUS
Merci beaucoup pour votre contribution.

Quel est aujourd'hui votre attachement à la Suisse ? Le fait que vous lisiez SWI swissinfo.ch laisse supposer qu'il existe toujours un attachement ? Est-ce que je vois bien ?

Vous écrivez que vous seriez favorable à une frontière entre les générations. Autrement dit, si vous aviez des enfants, vous ne transmettriez plus la nationalité suisse ?

Je suis impatient de connaître votre avis.

Guten Tag SwissMissUS
Vielen Dank für Ihren Beitrag.

Wie sieht heute Ihre Verbundenheit mit der Schweiz aus? Die Tatsache, dass Sie SWI swissinfo.ch lesen lässt erahnen, dass noch immer eine Verbundeneheit besteht? Sehe ich das richtig?

Sie schreiben, dass Sie für eine Generationengrenze wären. Sprich, wenn Sie Kinder hätten, würden Sie die Schweizer Staatsbürgerschaft nicht mehr weitergeben?

Ich bin gespannt auf Ihr Feedback.

descendientesuizos
descendientesuizos
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@SwissMissUS

Chère Madame

De nombreux descendants de Suisses de l'étranger ne sont pas nés aux États-Unis. Nous n'avions pas de système postal fonctionnel ni les réseaux de communication sophistiqués qui vont de soi aux États-Unis. Par conséquent, nous n'étions souvent pas informés à temps des changements de législation.

De plus, il arrivait souvent que nos lettres d'enregistrement des naissances n'arrivent pas à destination ou que nos propres consulats perdent nos documents. Tout cela a créé une injustice historique qui doit être corrigée de toute urgence.

Je compte sur votre compréhension.

Salutations amicales

Sehr geehrte Dame,

Viele Nachkommen von Schweizern im Ausland wurden nicht in den Vereinigten Staaten geboren. Wir hatten kein funktionierendes Postsystem und nicht die hochentwickelten Kommunikationsnetzwerke, die in den USA selbstverständlich sind. Daher erfuhren wir oft nicht rechtzeitig von Gesetzesänderungen.

Zudem kam es häufig vor, dass unsere Briefe zur Anmeldung von Geburten nicht ankamen oder dass unsere eigenen Konsulate unsere Dokumente verloren. All dies hat eine historische Ungerechtigkeit geschaffen, die dringend korrigiert werden muss.

Ich hoffe auf Ihr Verständnis.

Freundliche Grüsse

Ferruccio Baroni
Ferruccio Baroni
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@SwissMissUS

Mon grand-père était suisse et a émigré en Italie où il a trouvé du travail et fondé une famille. Mon père a voulu conserver sa nationalité, mon frère et moi aussi, ainsi que mes enfants qui sont maintenant retournés en Suisse où mes petites-filles sont nées. Je ne crois pas que la mise en place d'entraves bureaucratiques serve à autre chose qu'à mettre des bâtons dans les roues de ceux qui veulent préserver ne serait-ce qu'un lien sentimental et culturel avec la patrie de leurs ancêtres. J'aime l'Italie, mais je suis tout aussi fier de mes origines suisses.

Mio nonno era svizzero ed è emigrato in Italia dove ha trovato lavoro e formato una famiglia. Mio padre ha voluto mantenere la cittadinanza, così abbiamo fatto mio fratello ed io e così hanno fatto i miei figli che ora sono tornati in Svizzera dove sono nate le mie nipotine. No credo che porre pastoie burocratiche serva a qualcosa se non a frapporre difficoltà a chi chiede di conservare un legame anche solo sentimentale e culturale con la Patria dei propri avi. Amo l’Italia ma sono altrettanto fiero delle mie origini svizzere.

OCRAM
OCRAM
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@descendientesuizos

Je ne vois vraiment pas l'intérêt de transmettre une nationalité d'origine à plusieurs générations quand elle n'a plus de raison d'être ni d'influence sur la vie à l'étranger. C'est un faux problème (sentimental ?) qui n'est pas compris par la majorité des Suisses qui restent dans leur patrie où ils travaillent et cotisent. La double nationalité ne peut pas être transmise indéfiniment, car ce serait injuste et aussi dénué de sens.
Mais ici, sur Swissinfo.ch, on en fait un sujet martelé avec une insistance suspecte. Il me semble évident qu'il s'agit de politique, car ce sont les mêmes qui insistent sur le vote électronique, que les Suisses ont déjà rejeté à plusieurs reprises.
Mais cela suffit maintenant !

Non vedo proprio che senso abbia trasmettere una cittadinanza d'origine lontana diverse generazioni quando non ha più alcuno scopo né influsso sulla vita all'estero. È un falso problema (sentimentale?) non capito dalla maggioranza degli svizzeri che rimangono in patria ove lavorano e vi pagano i contributi. Non si può trasmettere la doppia cittadinanza all'infinito, perché sarebbe ingiusto e pure senza alcun senso.
Ma qui su Swissinfo.ch ne fanno un problema martellato di continuo con sospetta insistenza. Mi sembra ovvio che centri la politica, perché nel contempo sono poi gli stessi che insistono sul voto elettronico già più vote rifiutato dagli svizzeri.
Ma anche basta ora!

Melanie Eichenberger
Melanie Eichenberger SWI SWISSINFO.CH
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@OCRAM

Cher:e OCRAM
Merci pour votre contribution. Qu'est-ce qui vous semble suspect dans mon reportage sur la transmission de la nationalité suisse ?
Actuellement, c'est un sujet politique et SWI swissinfo.ch reprend ces thèmes qui concernent la communauté Swiss Abroad.

Sehr geehrte:r OCRAM
Danke für Ihren Beitrag. Was ist für Sie an meiner Berichterstattung über die Weitergabe des Schweizer Bürgerrechts verdächtig?
Aktuell ist es politisch ein Thema und SWI swissinfo.ch nimmt diese Themen auf, welche die Swiss Abroad Community betrifft.

SWI swissinfo.ch - succursale de la Société suisse de radiodiffusion et télévision

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