La première dame de Russie, Svetlana Medvedev, a donné deux oursons à la ville de Berne à l'occasion de la visite d'Etat du président russe Dmitri Medvedev, en octobre 2009. A droite, le maire Alexander Tschäppät. (Keystone / Marcel Bieri)
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Mischa et Mascha, arrivés dans les bagages de Svetlana Medvedev, proviennent de Sibérie. (Keystone/Marcel Bieri)
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Björk et Finn zügeln ont quitté le zoo du Dählhölzli pour le Parc aux ours. (baerenpark-bern.ch)
Trop cool, la piscine! A l'arrière plan, le pont du Nydegg. (baerenpark-bern.ch)
Le nouveau parc, la piscine et l'Aar. (Keystone/Peter Schneider)
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La Fosse aux ours vers 1880. (Wikipedia/Musée historique de Berne)
1956: l'arrivée à Berne d'un jeune ours en provenance de Turquie. (RDB/ATP/Pichler)
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L'un des gardiens du temple bernois des ursidés, en 1979. (RDB/Siegfried Kuhn)
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Lotti et Ursula en 1969. On parle des ours, pas des humains. (RDB/Siegfried Kuhn)
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En 1966, le 1500e enfant de l'opération 'Berliner Kinder Aktion' est à Berne. Au nom du chancelier allemand Willy Brandt, il offre un ours à la ville. (RPV / Siegfried Kuhn)
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Pour un ours, Pedro est extrêmement cabot. (Keystone/Peter Klaunzer)
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1968: un danseur de corde du cirque Knie traverse la fosse aux ours. (RDB/Siegfried Kuhn)
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Nous sommes en 2002. Le gardien Emil Hänni nourrit son pote Fredi. (Keystone/Lukas Lehmann)
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1998: Des activistes de l'organisation 'Animal Peace' réclament la libération des nounours bernois. (Keystone/Jürg Müller)
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Pedro, le dernier ours qui a connu le Bärengraben, a rendu l'âme en 2009. Pour quelques semaines, les lieux appartiennent au public. (Keystone / Lukas Lehmann)
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L'animal symbole de la ville de Berne a un nouveau terrain de jeu!
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Le ‘Bärengraben’, la fameuse ‘Fosse aux ours’ de Berne, a fait son temps. Les plantigrades poilus de la capitale ont désormais un vaste parc rien que pour eux: 10.000 m2 sont à leur disposition, sur les rives de l’Aar. Un parc qui dépend du Dählhölzli, le zoo de la ville.
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