Soldats de tous pays, unissez-vous – dans l’atelier du peintre
Au printemps 1917, le peintre vaudois Eugène Burnand, 66 ans, effectue à Paris une série de portraits des sans-grade de l'armée alliée qui va battre l'Allemagne sur le front de l'Ouest.
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Multicolore, on dirait aujourd’hui multiethnique, cette immense coalition franco-anglaise (et bientôt américaine) regroupe non seulement des hommes de la métropole, mais aussi des immenses empires coloniaux des alliés, empires sur lesquels, selon la formule d’alors « le soleil ne se couche jamais ».
Traditionaliste et méticuleux, l’artiste s’est attaché à capturer l’âme de ces hommes – dont beaucoup vont mourir -, estimant quant à lui que la peinture est mieux à même de le faire que ne le sera jamais la photographie.
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