D’ici 2015, la moitié des cadres dirigeants des entreprises suisses seront étrangers. Les entreprises nationales peuvent-elles conserver leur caractère suisse avec des étrangers à la barre ou cette identité suisse doit-elle plutôt être diluée?
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Les cadres étrangers occupent déjà les deux tiers des postes dirigeants des grandes multinationales et des entreprises vedettes de la bourse suisse. Les sociétés plus petites recherchent elles aussi des cadres étrangers disposant des compétences nécessaires pour s’étendre sur de nouveaux marchés.
Regrettez-vous que le caractère suisse des entreprises soit en train de s’éroder? Ou alors, jugez-vous que le fait de choisir les meilleurs managers, indépendamment de leur nationalité, représente une évolution positive?
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La Suisse recrute ses top managers à l’étranger
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Le rapport 2011 du bureau de recrutement Guido Schilling estime à 45% la part des dirigeants étrangers dans les entreprises suisses. Et elle pourrait dépasser 50% d’ici à 2015. La Suisse bénéficie déjà depuis longtemps des compétences d’entrepreneurs d’origine étrangère. L’Allemand Henri Nestlé ou encore l’immigrant libanais Nicolas Hayek (Swatch) ont ainsi apporté une contribution…
L’économie suisse devrait-elle respecter les limites planétaires, comme le propose l’initiative pour la responsabilité environnementale, ou cela serait-il nocif pour la prospérité du pays? Et pourquoi?
Votre avis sur l'initiative pour la responsabilité environnementale nous intéresse.
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Ils sont venus nombreux, se sont sentis étrangers, et parfois leur pays d’origine leur manque encore. Malgré cela, ils veulent rester et même devenir Suissesses ou Suisses. Les uns invoquent l’amitié ou les défis professionnels, les autres sont venus pour fuir une situation politique intenable pour eux dans leur pays. Grâce à eux, la Suisse…
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