Une Suisse à 10 millions d’habitants, est-ce raisonnable?
La Suisse devrait passer le cap des 9 millions d’habitants en 2023, et peut-être bientôt celui des 10 millions. Une évolution que l’on doit beaucoup au développement économique du pays et à l’immigration.
Combien d’habitants supplémentaires notre pays peut-il encore supporter?
Pourra-t-on combler la pénurie de personnel qualifié autrement que par l’immigration?
Nous en débattrons le 21 juin dans notre émission Let’s Talk avec deux spécialistes des questions migratoires en Suisse:
- Elodie Gerber, co-responsable du programme migration au Foraus, le groupe de réflexion sur la politique étrangère de la Suisse
- Philippe Wanner, professeur de démographie à l’Université de Genève
Et vous, qu’en pensez-vous? Participez à la discussion!
De l’article Une croissance démographique rapide en Suisse, mais jusqu’à quand?
Non, il y a une urgence absolue à repenser fondamentalement l'économie et la population sans cesse croissante. Sous peine d'attirer toutes les nuisances sociétales des pays européens. La terre n'est pas extensible, les richesses ne sont pas illimitées, nous avons à revoir le fondement de la dévastation planétaire généralisée - la croissance économique nous conduit à un suicide collectif.
Non, la Suisse doit revoir de fond en comble sa politique d'accueil, la distribution des populations sur tous les cantons, l'équilibre indispensable entre besoins, populations, consommation des terres, d'eau, d'espaces verts.
A mon avis, la géographie n est pas extensible et déjà densément peuplée ! augmenter les critères de sélection pour les arrivants des pays tiers et favoriser les demandes des européens du nord, hautement qualifiés dans des domaines porteurs et d avenir. Ne rien céder sur le contrôle de nos frontières surtout quand je vois la racaille qui évolue dans la belle France ma seconde patrie, même en zone rurales.
Non.
Nous gagnons, dit-on, de plus en plus, nous vivons de mieux en mieux, grâce à la main d'œuvre qui immigre de partout et parce que la productivité a augmenté de 64% au cours des 50 dernières années. (Source DFAE)
Mais qu'est-ce qui ne va pas dans notre système suisse, quand le père d'un bon ami à Schattdorf a pu construire une maison individuelle il y a 60 ans avec un salaire mensuel de 400 CHF comme facteur. Dans les 9 millions de CH de l'année 2024, seuls les jeunes avec un revenu supérieur à environ 15 000 par mois ou un héritage d'un million ? peuvent encore le faire.
La croissance démographique n'a en tout cas pas amélioré la situation de départ pour notre relève, me semble-t-il.
Nein.
Wir verdienen, sagt man, immer mehr, wir leben immer besser , dank der vielen Arbeitskräfte die von überall her einwandern und weil die Produktivität in den letzten 50 Jahren um 64% zugenommen habe. (Quelle EDA)
Aber was stimmt in unserem System Schweiz nicht, wenn der Vater eines guten Freundes in Schattdorf vor 60 Jahren mit einem Monatslohn als Briefträger von 400 CHF ein EFH bauen konnte. In der 9 Mio CH des Jahres 2024 können das nur noch junge Leute mit einem Einkommen von mehr als ca. 15 000 pro Monat oder einer Erbschaft von einer Million ?
Das Bevölkerungswachstum hat die Ausgangslage für unseren Nachwuchs jedenfall nicht verbessert wie mir scheint.
10 millions c'est juste de la folie! Notre pays ferait mieux de former plus et mieux dans les branches où il manque du personnel, tel que le médical, la logistique, l'informatique, etc. Si au sein de la population actuelle, les employeurs trouvaient les collaborateurs qui répondent à leurs attentes, il y aurait bien moins de personnes étrangères. Nous devons faire preuve de protectionnisme et d'abord penser à la population suisse et à ce qu'elle ait une certaine qualité de vie. Le pays peut aussi choisir son immigration, comme de très nombreux pays le font. Actuellement, il y a en Suisse romande une très mauvaise ambiance avec une partie des français frontaliers qui voit Genève et ses alentours comme une extension de la France. De plus, de nombreux français sont patrons de PME à Genève et ils n'engagent que des français et aucun suisse. Le fossé depuis 2002 se creuse de plus en plus et à Genève et Lausanne nous serons très bientôt une minorité de suisses. Il n'y a pas de honte à vouloir un peu se protéger de façon à ne pas perdre notre identité, nos us et coutumes et surtout notre souveraineté en ne rentrant jamais dans l'UE qui ne lorgne que sur notre argent et rien d'autre.
Non, ce n'est pas raisonnable. Il y va de la survie du pays, de l'ensemble de la biodiversité. Le pays pas plus que la planète ne sont pas extensible, l'artificialisation des terres est la mort assurée de toute vie sur la terre.
Il faut sortir une fois pour toutes du dogme de la croissance, nous allons droit dans le mur.
3000 habitants sur 0,1 km2 !?
1km2 c'est 1000m2
0,1 c'est 100 m2 soit 10mx10m
Je crois qu'il y a une erreur ...
Plus on parle de sauver la planète, plus on fait le contraire. La Suisse, avec tous ses lacs, ses rochers ou glaciers , n'est pas équipée pour 10 millions d'habitants. les villes sont à l'étroit, les campagnes se construisent au détriment d'une autosuffisance alimentaire et d'eau. Les seuls bénéficiaires, sont l'Etat, avec les impôts , le sectaire tertiaire. Les route, les trains, sont surchargées, le stress agit sur le moral des habitants. Pendant ce temps, trop d'africains, et d'autres quittent leurs pays, pour trouver une vie facile en Suisse ou en Europe. Inefficacité de l'aide aux pays en voie de développement. C'est le moment de remettre le train sur les vraies rails. Allez voir, tout ce que fait Isabelle Macheret au Coeur du Niger. Tentez de l’interviewer, afin d'obtenir une analyse plus réelle de ses expériences.
Peut-on être heureux dans un ville surpeuplée ? dans un territoire où la nature sauvage est remplacée par des lieux habités ? La surface d'un pays est limitée et la Suisse ne fait pas exception. Avec plus de 200 habitants au Km2, compte tenu des zones montagneuses inhabitables, la Suisse est déjà bien pleine...
Ce n'est clairement pas une bonne évolution La Suisse a déjà atteint ses limites. Stress dû à la densité, surcharge du trafic, autosuffisance toujours plus réduite, loyers bientôt inabordables. Je vous demande de mettre fin à la libre circulation des personnes et à l'asile. J'écris cela bien que je ne sois plus concerné, j'ai juste peur pour notre belle Suisse. Ne pas tout sacrifier à l'économie. Il y a aussi l'implantation malheureuse d'animaux sauvages, qui ont été exterminés par nos ancêtres pour une raison ou une autre. Les touristes ne viendront plus si vous avez peur de vous promener dans les montagnes suisses.
Es ist ganz klar keine gute Entwicklung Die Schweiz ist jetzt schon an Ihre Grenze gestossen. Dichtestress, Verkehrsüberlastung, immer kleinere Selbstversorgung, Mieten bald nicht mehr bezahlbar. Bitte Schluss mit Personenfreizügigkeit und Asylwesen. Ich schreibe das, obwohl ich davon nicht mehr tangiert werde ich habe nur Angst um unsere schöne Schweiz. Nicht alles der Wirtschaft opfern. Dann wäre da noch die unselige Ansiedlung von Wildtieren aus irgendeinem Grund wurden Sie von unseren Vorfahren ausgerottet. Die Touristen werden ausbleiben, wenn Sie sich ängstigen müssen in der Schweizer Bergwelt zu spazieren.
La Suisse est déjà surpeuplée, c'est pourquoi j'ai émigré
Die Schweiz ist jetzt schon überbevölkert, deshalb bin ich ausgewandert...
En aucun cas. Mais c'est impensable.
Auf keinen Fall. Das ist aber undenkbar.
En aucun cas
Auf keinen Fall
À Pris : je suis tout à fait d'accord avec toi. Je resterai à l'étranger et je mourrai là-bas.
An Pris: bin volkommen Deiner?Eurer Meinung. Werde im Ausland bleiben und da/dort sterben.
Non, pas question. C'est déjà surpeuplé. La Suisse n'est pas si grande. Pensez aux logements, chacun veut encore sa propre maison, etc. Où est l'agriculture ? Et les emplois ? Tout le monde à partir de 50 ans ne trouve pas de nouvel emploi. Sinon, il faut changer de mentalité. On peut envisager de déménager la Suisse. Tout le monde veut venir en Suisse, alors certains pays seront bientôt inoccupés. Ne serait-ce pas une alternative ?
Nein, auf keinen Fall. Es ist jetzt schon überfüllt. Die Schweiz ist nicht so gross. Denkt mal an Wohnungen, jeder will noch sein eigenes Haus usw. Wo bleibt die Landwirtschaft? Und Die Arbeitsplätze? Jeder ab 50 findet keinen Neuen Job. Sonst muss man umdenken. Man kann ja überlegen, die Schweiz umzusiedeln. Jeder will in die Schweiz, dann werden bald einige Ländern unbesiedelt sein. Wäre doch eine alternative?
C'est tout à fait impensable, déjà aujourd'hui la Suisse est surpeuplée à cause de l'envahissement des réfugiés qui viennent de tous les coins du monde pour se faire prendre en charge pour moi c'est inacceptable....
Actuellement on ne peut plus les héberger par manque de structure comment allons-nous faire si on en accueille encore beaucoup?
Il faut aussi préciser que de nombreux réfugiés ne méritent pas une prise en charge car leur pays n'est pas en danger, il ont profité des opportunités offertes par tous les pays d'Europe et surtout à cause de toutes les frontières ouvertes ......
On peut aussi préciser que les contrôles sont insuffisants et qu'il y a de nombreuses routes pour passer les Frontières.
Si ce déferlement continue il faudrait envisager la ferme de ces frontières!
Bonjour
Je propose une Suisse à 40 Millions, c’est Possible, j’ai déjà vu une maquette. Dans un premier, temps je me contenterai de 10 millions il faut bien commençer.
Nous nous occuperons de la Planète après !
Il n’est pas nécessaire d e savoir où nous voulons aller il aut y aller le plus vite Possibele
40 millions - c'est grotesque ?!
40 Millionen - das ist ja grotesk?!
Nous sommes déjà débordés: toute notre infrastructure est remplie: trains, routes écoles hôpitaux, etc. cela suffit !
La Suisse devrait dépasser cette année la barre des 9 millions d'habitants, et peut-être celle des 10 millions dans un avenir proche.
La responsabilité en incombe au développement économique et à la stabilité du pays.
Cette vision des choses est irresponsable vis-à-vis des "anciens et des nouveaux" Suisses. D'une certaine manière, nous profitons tous d'une économie florissante. Seulement, il y en a qui en profitent beaucoup plus que d'autres. La principale raison d'être de l'économie est de gagner de l'argent "à tout prix". Pour que la soi-disant prospérité pour tous ne soit pas menacée. Je n'aime déjà plus entendre le mot "prospérité". Avant chaque votation, on menace toujours le "peuple" en lui disant que s'il ne vote pas d'une manière ou d'une autre, c'est "VOTRE prospérité" qui est menacée. Oui, c'est votre prospérité qui va "s'effondrer". On parle très rarement de qualité de vie, alors que la qualité de vie est bien plus importante pour l'individu que la prospérité. Si la qualité de vie est importante pour nous, nous devons nous demander sérieusement à combien de personnes nous pouvons encore offrir cette qualité de vie solide et bonne. Il en va alors effectivement de la stabilité du pays et surtout de ses habitants. L'économie est peut-être importante, mais le bien-être et la santé des gens passent avant le profit.
Die Schweiz wird dieses Jahr wohl die 9-Millionen-Marke überschreiten, vielleicht folgt in naher Zukunft die 10-Millionen-Marke.
Verantwortlich dafür ist die wirtschaftliche Entwicklung und Stabilität des Landes.
Diese Sicht der Dinge ist verantwortungslos gegenüber den "alten und den neuen" Schweizern. Wir profitieren irgendwie alle von einer florierenden Wirtschaft. Nur gibt es einige die viel mehr profitieren als andere. Die wichtigste Existenzberechtigung der Wirtschaft ist, Geld zu verdienen auf "Teufel komm raus". Damit der sog. Wohlstand für alle nicht gefährdet wird. Ich mag das Wort "Wohlstand" schon gar nicht mehr hören. Immer vor Abstimmungen wird dem "Fussvolk" gedroht, dass wenn sie nicht so oder so abstimmen würden sei "IHR Wohlstand" gefährdet. Jawohl es wird mit Eurem Wohlstand "bachab gehen". Von Lebensqualität ist sehr selten die Rede, obwohl Lebensqualität für den Einzelnen viel wichtiger ist, als der Wohlstand. Wenn uns die Lebensqualität wichtig ist, dann müssen wir uns ernsthaft die Frage stellen, wie vielen Menschen können wir diese, solide und gute Lebensqualität noch bieten. Dann geht es in der Tat auch um die Stabilität des Landes und vor allem ihrer Einwohner. Die Wirtschaft mag wichtig sein aber zuerst kommt das Wohlbefinden und die Gesundheit der Menschen und dann der Profit.
Le dogme que tous les politiciens, entrepreneurs et journalistes répètent comme un moulin à prières :
Nous avons besoin de nouveaux emplois.
Ce n'est pas du tout vrai. Nous avons au moins un million d'emplois de trop.
Ce n'est pas nous qui avons besoin de nouveaux emplois, mais les pays d'où proviennent les travailleurs étrangers en Suisse.
Peut-être avons-nous besoin d'autres emplois, si possible plus "productifs" que ceux que nous avons, ne serait-ce que pour pouvoir faire face à l'augmentation des coûts de l'assurance maladie et de la prévoyance vieillesse sans que notre niveau de vie actuel en pâtisse.
Mais on oublie délibérément que de tels emplois, comme ceux créés récemment par Google, entraînent avec eux une foule d'emplois subalternes, à commencer par les maçons pour les bâtiments de travail et d'habitation nécessaires, jusqu'aux médecins hospitaliers et aux écoles pour les enfants.
Les maçons susmentionnés, originaires des Balkans par exemple, auront à leur tour besoin d'un kebab et de cours spéciaux pour leurs enfants qui ne parlent pas allemand.
Je ne sais pas combien d'emplois supplémentaires un nouvel emploi génère, mais je suppose qu'il y en a au moins trois.
Das Dogma, das alle Politiker, Unternehmer und Journalisten gebetsmühlenartig wiederholen:
Wir brauchen neue Arbeitsplätze.
Das stimmt überhaupt nicht. Wir haben mindestens eine Million Arbeitsplätze zu viel.
Neue Arbeitsplätze brauchen nicht wir, sondern die Länder aus welchen die ausländischen Arbeitnehmer in der Schweiz herkommen.
Vielleicht brauchen wir andere, wenn möglich "ergiebigere" Arbeitsplätze als die welche wir haben, nur schon, um die steigenden Kosten für Krankenkassen und Altersvorsorge ohne Einbussen beim gegenwärtigen Lebensstandard zu verkraften.
Dabei wird aber geflissentlich übersehen, dass solche Arbeitsplätze, neuerdings etwa von Google, einen Rattenschwanz von untergeordneten Arbeitsplätzen nach sich ziehen, angefangen bei den Maurern für die erforderlichen Arbeits- und Wohngebäude bis zum Spitalarzt und zu den Schulen für die Kinder.
Die genannten Maurer, etwa aus dem Balkan, brauchen dann wiederum eine Kebab-Bude und spezielle Kurse für ihre Kinder, die nicht deutsch können.
Ich weiss nicht, wie viele zusätzliche Arbeitsplätze ein neuer Arbeitsplatz generiert, vermute aber, dass es mindestens 3 sind.
Lorsqu'une personne qualifiée arrive, elle a besoin d'un logement, d'électricité, etc. Pour produire le logement, l'électricité, etc., il faut à nouveau des immigrés. Ceux-ci ont à nouveau besoin d'un logement, d'électricité et ainsi de suite.
L'immigration se renforce d'elle-même.
Malgré tout, chaque nouvel emploi est acclamé.
Wenn eine benötigte Fachperson einwandert, braucht sie eine Wohnung, Strom, und und und. Für die Produktion der Wohnung, des Stroms und und und braucht es wieder Einwanderer. Diese brauchen wieder eine Wohnung, Strom und und und.
Die Einwanderung ist selbstverstärkend.
Trotzdem: jeder neue Arbeitsplatz wird bejubelt.
Joignez-vous à la discussion