Les experts de la police scientifique sont habitués à étudier chaque indice dans ses moindres détails. Les archives photographiques de la ville de Zurich montrent la variété des scènes de crimes qui ont marqué l'histoire de la cité alémanique.
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De la première autopsie officielle – pratiquée sur le corps de Jules César en 44 avant Jésus-Christ – aux empreintes digitales découvertes en 1890, jusqu’aux tests ADN pratiqués depuis les années 1980: les outils à disposition des chercheurs pour déterminer les circonstances d’un crime ont évolué de manière substantielle. Est-ce un accident, un suicide ou un meurtre? Pour le savoir, la technologie seule ne suffit pas. Il faut également s’armer de beaucoup de patience et de minutie.
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Les sciences criminelles séduisent, surtout les femmes
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Pour accéder au département de physique et balistique criminelles de l’université de Berne, il faut d’abord dévaler plusieurs escaliers abrupts d’un vieil immeuble gris de la capitale helvétique. Dirigé par Beat Kneubuehl, l’un des meilleurs experts européens en matière de blessures par balle, le bureau de recherche compte cinq collaborateurs. Deux sont présents le jour…
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