Des perspectives suisses en 10 langues

John Heilprin

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Une chercheuse basée en Suisse porte plainte contre Donald Trump

Ce contenu a été publié sur Samira Asgari en a assez! La chercheuse iranienne de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) a décidé de porter plainte contre le nouveau président américain Donald Trump et les hauts fonctionnaires de deux agences gouvernementales.  Malgré un visa en règle et deux tentatives, elle n’a pas été autorisée à embarquer pour les Etats-Unis, victime du…

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Pourquoi les rivières sauvages sont si rares en Suisse

Ce contenu a été publié sur Au-delà du château en ruine de Grasburg, le sentier forestier mène à la rivière Singine. L’espace sauvage situé dans le canton de Berne est une rareté en Suisse, où les paysages naturels font l’objet d’un entretien méticuleux. «On y trouve un grand nombre d’espèces, de plantes, d’insectes et de poissons. C’est incroyable, vraiment. C’est une…

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Le trumpisme comme crash test pour la démocratie

Ce contenu a été publié sur Le vote qui a permis de propulser le magnat de l’immobilier à la présidence des États-Unis reflète une réaction profonde envers les marchés et les frontières ouvertes. Des millions d’ouvriers et de travailleurs blancs en colère pointent la mondialisation et le multiculturalisme, comme causes de leur mauvais sort. «Il y a quelques parallèles avec la…

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Les employés américains des firmes suisses en faveur des républicains

Ce contenu a été publié sur A ce jour, les employés aux Etats-Unis de plusieurs des 20 plus grandes entreprises figurant dans le Swiss Market Index (SMI) ont fait don de 6,1 millions de dollars en 2016 pour la campagne présidentielle américaine, dont 55% en faveur des républicains. La tendance est similaire à 2012: trois cinquièmes des 8,5 millions de dollars…

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La Suisse, dernier bastion de l’autonomie infantile

Ce contenu a été publié sur En Suisse, les enfants ont l'habitude de jouer dehors ou de se rendre à l'école tous seuls. Un héritage culturel qui est aujourd'hui menacé par des parents de plus en plus anxieux, dont les craintes sont alimentées par les médias.

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Rio 2016: les Suisses la jouent individuel

Ce contenu a été publié sur Alors que le cyclisme, la voile et l’hippisme représentent une part importante de la délégation suisse aux Jeux olympiques de Rio, on ne trouve aucun Helvète dans les compétitions des sports d’équipe comme le basket, le football ou le water-polo. Pour définir les sports d’équipe, nous avons utilisé la classification du Comité international olympique. La…

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La prospérité suisse pour préserver le climat

Ce contenu a été publié sur À eux seuls, les plans de la Suisse pour réduire ses émissions de carbone ne représentent qu’une infime partie de l’effort mondial pour limiter les dégâts en matière de réchauffement climatique. En revanche, elle peut jouer un rôle plus large en en faisant plus pour aider à montrer la voie à suivre, selon le physicien…

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Revenu de base: une vieille idée dont l’heure est venue?

Ce contenu a été publié sur «Utopia», l’ouvrage de fiction et de philosophie politique, publié pour la première fois en latin en 1516, évoque le revenu de base inconditionnel (RBI) comme moyen de lutter contre les vols. Dix ans plus tard, l’ami de Thomas More, Johannes Lodovicus Vives, a été le premier à élaborer une proposition détaillée. Sa note au maire…

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Dans 100 ans, les paysages suisses seront méconnaissables

Ce contenu a été publié sur Le climat alpin de la Suisse ne survivra pas aux effets du réchauffement climatique. Et cela même si l'accord de Paris, que le gouvernement s'apprête à signer, aboutit à une réduction des émissions de CO2. Les scientifiques le disent: à l'avenir, il n'y aura plus de glaciers, davantage d'éboulements et une majorité de paysages brunâtres. Ils annoncent des étés plus chauds, moins de pistes de ski et plus de tempêtes. Ces prévisions se fondent sur les travaux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), l’équipe de climatologues qui a remporté un Prix Nobel et s'occupe de traquer les effets du réchauffement climatique. «Les glaciers suisses auront sûrement disparu d'ici 100 ans, estime la géologue zurichoise Kathy Riklin. Cette parlementaire dirige l’OcCC, organe consultatif du gouvernement suisse sur les changements climatiques. «Au sommet des montagnes et en altitude, il ne restera plus que des pierres et des débris, fait-elle remarquer à swissinfo.ch. Ce sera un monde très différent». La température moyenne annuelle a augmenté de 1,75 degré durant les 150 dernières années et «la hausse devrait s'accélérer d'ici à la fin du 21e siècle, en fonction du niveau des émissions et d'autres variables comme la quantité de précipitations, la couverture neigeuse et le ruissellement», prévoit une étude publiée en 2014 par des chercheurs de l'Université de Berne. Diminuer les émissions de moitié Le gouvernement suisse a approuvé l'accord de Paris sur le climat le 23 mars dernier, dressant les contours formels de la politique climatique du pays jusqu'en 2030. La ministre de l'environnement Doris Leuthard signera l'accord le 22 avril à New York. Lorsque le parlement l'aura ratifié, la Suisse pourra confirmer au Secrétariat de la Convention des Nations unies sur les changements climatiques qu'elle a l'intention de réduire ses émissions de 50% par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2030. Pour y parvenir, la Confédération devra réviser sa Loi sur le CO2. Le gouvernement a déterminé que trois cinquièmes de cette baisse devra provenir de mesures domestiques. Les deux autres tiers pourront être générés par l'achat de quotas d'émission à l'étranger. Malgré la nature enclavée du pays, le climat de la Suisse est largement influencé par l'océan Atlantique, qui rafraîchit l'atmosphère en été et la réchauffe en hiver, selon l'Office fédéral de météorologie et de climatologie MeteoSwiss. L'organe présidé par Kathy Riklin prépare un rapport, dont la parution est prévue cette année, pour actualiser les hypothèses du gouvernement en matière de changements climatiques. Celles-ci sont dérivées des conclusions du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), panel d'experts affilié aux Nations unies qui comprend des milliers de climatologues issus de 195 pays. Les rapports précédents, publiés entre 2007 et 2014, livrent une image assez claire des scénarios à venir. La Suisse connaîtra plusieurs changements irréversibles. Prendre de l'altitude Les plantes et les animaux qui ont l'habitude de vivre dans un climat frais devront par exemple migrer en altitude. Une étude publiée par C3i, un groupe de scientifiques romands qui étudie les changements climatiques, a découvert que les oiseaux qui se reproduisent en Suisse dans des habitats alpins, comme le venturon montagnard ou le pinson des neiges à ailes blanches, sont particulièrement vulnérables aux variations de climat. Les températures vont en outre augmenter dans toutes les régions du pays et tout au long de l'année. La Suisse ressemblera davantage au Tessin, un canton situé au sud des Alpes, dans la partie italophone du pays, et caractérisé par ses lacs bordés de palmiers et son climat méditerranéen. Les plantes alpines subiront non seulement une hausse des températures mais aussi la compétition – potentiellement mortelle – de nouvelles espèces peu familières, selon des chercheurs de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ). Une étude publiée en septembre dernier dans la revue Nature montre que quatre plantes alpines helvétiques - l'anémone de printemps, la scabieuse luisante, l'anthyllide alpestre et le plantain noirâtre - parviennent à rester en vie lorsqu'elles sont transplantées 600 mètres en dessous de leur habitat naturel, là où il fait plus chaud. Leur taux de survie chute en revanche de 50% lorsqu'elles sont confrontées à des espèces invasives avec lesquelles elles ne sont pas familières. Trop c'est trop Une hausse des températures va en outre accroître la productivité et le rendement des cultures dans les champs et dans les forêts. L'élevage de bétail devrait également en bénéficier. L'accès à l'eau deviendra un enjeu de plus en plus important. Et il devrait y avoir une augmentation des mauvaises herbes, des insectes et des évènements climatiques néfastes, comme les tempêtes, les vagues de chaleur et les sécheresses. Il y a clairement un seuil au-delà duquel les températures sont trop élevées. Autre effet, les primes d'assurance et de ré-assurance vont augmenter, ce qui favorisera l'adoption de mesures préventives pour anticiper et limiter les risques comme le choix de normes de construction plus sûres. Si rien n'est fait pour stopper le changement climatique, celui-ci pourrait coûter 20% de son PIB à l'économie mondiale d'ici la fin du siècle, estime le réassureur Swiss Re. Les régions alpines, qui dépendent du tourisme hivernal, seront particulièrement affectées. Les stations de ski de haute altitude – et le marché des résidences secondaires – pourraient en revanche profiter de leur déconvenue. Routes impraticables Les chemins de fer de montagne seront confrontées à un risque accru d'éboulements et à la fonte du permafrost, ce qui déstabilisera les fondations des pylônes et des gares, souvent ancrés sur de la roche meuble gelée. Le nombre de touristes qui fréquentent les lacs de montagne et les sommets alpins durant les chaudes journées d'été va sans doute augmenter mais cela ne suffira pas à compenser les pertes de revenu hôtelier et ferroviaire durant l'hiver. Le trajet pour se rendre dans les Alpes deviendra à lui seul plus compliqué avec la multiplication des évènements climatiques extrêmes, car les routes en pâtiront. Les concentrations d'ozone plus élevées enregistrées en Suisse ces dernières années ainsi que la multiplication récente des vagues de chaleur laissent entrevoir les conséquences pour la santé du réchauffement climatique. Les périodes de chaleur intense affectent les performances des employés et les évènements climatiques extrêmes ont un effet psychologique délétère. Le risque d'intoxication alimentaire augmentera aussi, car la nourriture aura davantage de chances de se gâter. Et de nouvelles maladies pourraient faire leur apparition en Suisse, comme le virus du Nil occidental. La malaria et la dengue ont en revanche peu de chances de se propager sur sol helvétique. Dangereuses tempêtes Les importantes réserves hydrauliques de la Suisse vont diminuer. Un usage accru des lacs et des réservoirs aura des conséquences écologiques imprévisibles, même si plusieurs modélisations informatiques ont montré que le pays ne devrait pas manquer d'eau. «Il y aura sans doute davantage de pluie en hiver et moins d'eau en été car sans glaciers, il n'y plus d'eau de fonte. Tout deviendra beaucoup plus irrégulier», note Kathy Riklin. Ce qui l'inquiète le plus, ce sont les perturbations météorologiques. «Je pense que les dangers liés à la multiplication des tempêtes sont bien plus grands que ceux provoqués par les modifications du paysage, ajoute-t-elle. Le vrai risque est là».Moins de CO2 L'accord de Paris, conclu fin 2015, a pour but de limiter le réchauffement climatique à moins de deux degrés. Mais la Suisse n'a qu'un petit rôle à jouer: elle ne représente que 0,1% des émissions globales de gaz à effet de serre et cette part ne cesse de diminuer au fur et à mesure que celle de la Chine, du Brésil, de l'Inde et des autres pays émergents croît. Le pays est déjà parvenu à réduire ses émissions de 8% par rapport au niveau de 1990. Il vise désormais une baisse de 20% par rapport au niveau de 1990 d'ici 2020.

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Notre forêt: plus que seulement des arbres

Ce contenu a été publié sur Une personne sur cinq sur la planète dépend des forêts pour vivre, selon les Nations Unies. Elles abritent également près de 80% des animaux, des plantes et des insectes. Environ un tiers de la Suisse – et un tiers de la terre – sont des zones forestières. La superficie boisée augmente sur le territoire helvétique,…

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Petit guide des relations irano-suisses

Ce contenu a été publié sur Le président Johann Schneider-Ammann se rend fin février à Téhéran, à un moment particulier: l’Iran vient de signer un accord avec six pays qui vise à limiter son programme nucléaire en échange de la levée des sanctions internationales qui ont handicapé son économie ces dernières années. swissinfo.ch explique quelles opportunités économiques vont émerger de l’ouverture…

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« L’Etat islamique vise des symboles »

Ce contenu a été publié sur Genève pourrait être une cible symbolique pour les terroristes, avertit l’ambassadeur de Suisse à Washington Martin Dahinden. Il souligne toutefois que la situation de la Suisse ne peut pas être comparée avec celle des États-Unis et des autres pays engagés dans une action militaire. Après une année à Washington comme ambassadeur de Suisse, Martin Dahinden…

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Défi climatique et biodiversité, de Berne à Moscou

Ce contenu a été publié sur En 1812, les ingénieurs ont utilisé 25’000 pins sylvestres pour construire l’immense rigole de bois qui permettait de descendre les arbres coupés du sommet du Mont Pilate à Alpnach. Des troncs mesurant jusqu’à 30 mètres de long glissaient ainsi jusqu’au village riverain du Lac des Quatre Cantons, d’où ils étaient acheminés par voie fluviale jusqu’à…

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Quatre graphiques pour mieux comprendre les enjeux climatiques

Ce contenu a été publié sur L’Organisation météorologique mondiale (OMMLien externe), qui est la «maison mère» du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIECLien externe), la plus haute autorité scientifique mondiale sur le réchauffement climatique, considère que la planète s’est désormais réchauffée de 1°C par rapport à l’ère pré-industrielle. Davantage d’émissions de CO2 signifient hausse des températures, changement des saisons…

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Les messages contradictoires de la Suisse contre la pauvreté mondiale

Ce contenu a été publié sur Ces trois dernières années, c’est le public qui a contribué à définir ce que sera la contribution suisse aux efforts futurs des Nations unies contre la pauvreté. Sous l’étiquette des Objectifs de développement durable (ODDLien externe), l’organisation a défini 17 buts, non contraignants, portant sur 169 cibles spécifiques, qui vont de l’éradication de la pauvreté…

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Les entreprises suisses invitées à prendre des risques en Iran

Ce contenu a été publié sur L’Iran est un marché difficile. Mais avec 80 millions d’habitants et d’importantes réserves de pétrole et de gaz, ce pays grand comme 3 fois la France offre une perspective attrayante pour beaucoup d’investisseurs. Selon des experts, les entreprises suisses de haute technologie dans les secteurs des services, de l’industrie et de l’agriculture pourraient y trouver…

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La marque Cervin, un trésor jalousement gardé

Ce contenu a été publié sur Posez la question aux alpinistes suisses les plus connus et ils vous diront que le CervinLien externe possède une beauté singulière qui le rend tout simplement irrésistible. «Lorsque vous voyez la montagne, vous avez pour seule envie d’aller au sommet», affirme Roger SchäliLien externe, un guide et alpiniste professionnel qui a ouvert de nouvelles voies…

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Le Népal face aux défis de la reconstruction

Ce contenu a été publié sur C’est le plus puissant séisme que ce pays grand comme trois fois la Suisse a connu depuis celui de 1934. Selon des estimations initiales de l’ONU, basées sur la dernière cartographie du tremblement de terre, huit millions de personnes dans 39 districts ont été touchées, dont plus de deux millions dans les 11 districts les…

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